Pourprendre un exemple simple avec le simulateur Tesla au 26 janvier 2021. Un LR sans option est à 51 990 € hors bonus. Eligible au bonus de 3 000 € (au 26 janvier 2021), vous empruntez 48 990 €. Si vous faîtes un crédit classique sur 5 ans, votre mensualité sera de l’ordre de 859 € (taux 2 %, hors assurance)
Vérifié le 08 août 2022 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreNotification de mise en fourrière nouvelles règles dès octobre 2022Le décret n° 2022-1040 du 22 juillet 2022 modifie certaines règles relatives à la mise en fourrière d'un délai d'abandon d'un véhicule passe de 15 à 7 jours lorsque le véhicule a servi à commettre le délit de rodéos texte s'appliquera à partir du 1er octobre page reste d'actualité et sera modifiée à cette véhicule était garé sur un emplacement réservé et a été mis en fourrière ? Votre véhicule a été confisqué après un excès de vitesse supérieur à 50 km/h puis mis en fourrière ? Vous vous demandez comment récupérer votre véhicule et quels frais vous devez payer ? Nous vous informons sur les règles à connaître et les démarches à véhicule peut être mis en fourrière si vous avez commis certaines infractions au code de la exemple, stationnement gênant de votre véhicule en double personne chargée d'enlever votre véhicule Désigne la fourrière dans laquelle votre véhicule est transféréÉtablit une fiche descriptive du véhicule avant son enlèvement. À votre demande, un double de la fiche descriptive vous est un procès-verbal ou un rapport indiquant les motifs de la mise en fourrièreLa mise en fourrière s'effectue alors par le soulèvement ou le remorquage de votre de faire enlever votre véhicule, les forces de l'ordre vérifient s'il a été et votre assureur êtes immédiatement véhicule est mis en fourrière à titre conservatoire aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquementSi l'enlèvement de votre véhicule n'a pas commencéL'enlèvement du véhicule vers la fourrière débute à partir du moment où au moins 2 roues du véhicule ont quitté le sol ou à partir du début du déplacement du pouvez récupérer votre véhicule si vous arrivez avant son devez régler les frais préalables à la mise en fourrière si le véhicule d'enlèvement est déjà sur place 15,20 € pour une voiture, pour un 2 ou 3 roues à moteur,22,90 € pour un poids l'enlèvement de votre véhicule a commencéL'enlèvement du véhicule vers la fourrière débute à partir du moment où au moins 2 roues du véhicule ont quitté le sol ou à partir du début du déplacement du l'enlèvement du véhicule a commencé, vous pouvez récupérer votre véhicule si vous payez les frais d'enlèvement ou si vous vous engagez par écrit à les devez aussi vous engagez à libérer à la voie publique stationnement illicite, double file...Si vous êtes absent plusieurs jours, vous recevez une lettre recommandée avec AR lettre est envoyée dans les 5 jours ouvrables titleContent suivant la mise en fourrière de votre généralSi vous êtes absent lors de l'enlèvement du véhicule, renseignez-vous auprès du commissariat ou de la gendarmerie la plus proche du lieu de s’adresser ?À ParisVous pouvez rechercher votre véhicule via un le numéro d'immatriculation du d'un véhicule enlevé ou déplacé à ParisRépondez aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquementDans les 3 jours suivant l'enlèvementPour récupérer votre véhicule et la carte grise si elle vous a été retirée, vous devez présenter l'attestation d'assurance du véhicule et votre permis de conduire en cours de une décision d'interdiction de circuler a été prise, vous devez faire réaliser une expertise du véhicule hors de la véhicule peut quitter la fourrière sur véhicule-plateau à condition qu'il soit vous faites appel à un professionnel qualifié pour remorquer votre véhicule, vous devez uniquement présenter l'attestation d' devez indiquer aux forces de l'ordre le nom de professionnel tous les cas, vous devez régler les frais de fourrière auprès du de 3 jours aprèsVotre véhicule est classé dans l'une des 2 catégories suivantes Véhicule à remettre au service des DomainesCela signifie que votre véhicule est considéré comme abandonné à la fin d'un délai de 15 jours suivant la notification titleContent de mise en à détruireCela signifie que votre véhicule, après estimation de sa valeur marchande, est considéré comme abandonné à la fin d'un délai de 10 jours suivant la notification de mise en l'administration a de vos nouvelles avant la fin du délai d'abandonPour récupérer votre véhicule et la carte grise si elle vous a été retirée, vous devez présenter l'attestation d'assurance du véhicule et votre permis de conduire en cours de une décision d'interdiction de circuler a été prise, vous devez faire faire une expertise du véhicule hors de la véhicule peut quitter la fourrière sur véhicule-plateau à condition d'être vous faites appel à un professionnel qualifié pour remorquer votre véhicule, vous devez uniquement présenter l'attestation d' devez indiquer aux forces de l'ordre le nom de professionnel tous les cas, vous devez régler les frais de fourrière auprès du l'administration est sans nouvelle de votre part après la fin du délai d'abandonVotre véhicule est considéré comme service des Domaines vend ou détruit votre le service des Domaines a mis en vente votre véhicule, vous pouvez quand même le récupérer avant sa cela, vous devez payer les frais de mise en vente au service des domaines et les frais de fourrière au gardien de gardien de la fourrière vous restitue votre véhicule à condition de payer les frais de vous souhaitez récupérer votre véhicule alors que le service des Domaines a mis en vente votre véhicule, vous devez également payer les frais de mise en vente au service des prix indiqués sont les montants aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquementVoiture particulièreCas généralImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 15,20 €Enlèvement 121,27 €Garde journalière 6,42 €Mise en vente 100 €ParisImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 15,20 €Enlèvement 150 €Garde journalière 29 €Mise en vente 100 €Marseille, Lyon, ToulouseImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 15,20 €Enlèvement 126 €Garde journalière 10 €Mise en vente 61 €2 ou 3 rouesCas généralImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 7,60 €Enlèvement 45,70 €Garde journalière 3 €Mise en vente 50 €ParisImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 7,60 €Enlèvement 49 €Garde journalière 10 €Mise en vente 50 €Poids lourdLes montants varient selon le PTAC titleContent du 19 et 44 tonnes inclusImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 22,90 €Enlèvement 274,40 €Garde journalière 9,20 €Mise en vente 120 €Entre 7,5 et 19 tonnes inclusImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 22,90 €Enlèvement 213,40 €Garde journalière 9,20 €Expertise 120 €Entre 3,5 et 7,5 tonnes inclusImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 22,90 €Enlèvement 122 €Garde journalière 9,20 €Mise en vente 120 €Autre véhicule immatriculéImmobilisation matérielle 7,60 €Opérations préalables 7,60 €Enlèvement 45,70 €Garde journalière 3 €Mise en vente 50 €Exemple Les frais sont de 200,1 € pour une voiture mise en fourrière à Paris récupérée le jour même 7,60 € + 15,2 € + 150 € + 29 €.Faire obstacle à l'envoi en fourrière de votre véhicule est sanctionné par une peine maximale de 3 mois de prison et une amende pouvant aller jusqu'à 3 750 €.Vous perdez également 6 points sur votre permis de risquez également les peines complémentaires titleContent suivantes Suspension du permis pour une durée de 3 ans au plus aménagement possible en dehors de l'activité professionnellePeine de travail d'intérêt généralPeine de jours-amende titleContentQuestions ? Réponses !Cette page vous a-t-elle été utile ?
Ainsi, quatre plafonds coexistent pour les véhicules de tourisme acquis ou loués entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2017. L’amortissement ou le loyer sera exclu des charges déductibles pour l’établissement de l’impôt pour la fraction du prix d’acquisition ou du loyer qui dépasse 30 000 € pour les véhicules ayant un taux d’émission de CO2 inférieur à 20g/km ; 20 300 € pour les véhicules ayant un taux d’émission de CO2 supérieur ou égal à 20g/km et inférieur à 60 g/km ; 18 300 € pour les véhicules ayant un taux d’émission de CO2 supérieur ou égal à 60g/km et inférieur à 155 g/km ; 9 900 € pour les véhicules ayant un taux d’émission de CO2 supérieur à 155 g/km. Ce seuil de 155 g/km sera progressivement abaissé à 150 g/km en 2018, à 140 g/km en 2019, à 135 g/km en 2020 et à 130 g/km en 2021. L’Administration fiscale a précisé les modalités d’application de ces nouvelles limites. Ainsi pour les véhicules pris en location et l’application de la limitation, la date d’acquisition du véhicule à prendre en compte est la date de l’achat par l’entreprise bailleresse, et non la date de prise en location par l’entreprise utilisatrice. Ainsi, ce sera à l’entreprise bailleresse de faire connaître aux utilisateurs des véhicules qu’elles donnent en location la part du loyer non déductible, appréciée annuellement en tenant compte du plafond applicable au véhicule. Cette indication devra apparaître explicitement dans tous les contrats de location. En effet, les entreprises locataires n’ont aucun moyen de connaître ces informations à défaut de communication par les entreprises bailleresses. Les entreprises locataires devront en revanche penser à ajuster le montant communiqué au prorata du temps pendant lequel elles ont eu la disposition du véhicule. L’Administration a également précisé et reconduit sa doctrine antérieure que la limite de déductibilité s’appliquait également à l’indemnité versée au dirigeant ou au membre du personnel de l’entreprise qui est propriétaire d’une voiture particulière dont le prix d’acquisition est supérieur à la limite de déductibilité fiscale pour le véhicule concerné. Source BOI-BIC-AMT-20-40-50.
Cass 3e civ., 20 mai 2021, n° 19-24.440, inédit Article paru dans les Annales des Loyers N° 07-08 de juillet-août 2021 Se plaignant d’infiltrations d
En location meublée au régime réel, l’intégralité des charges engagées au titre de l’activité sont déductibles des recettes locatives. Résultat, dans bien des cas, il est possible de se constituer un patrimoine immobilier en quasi-franchise d’impôt. Est-ce que l’on peut vraiment tout déduire ? Comment ? Point de vue d’expert pour éclairer ce mécanisme fiscal très avantageux. Quelles charges puis-je déduire de mes revenus de location meublée ? Tout dépend de votre option fiscale. Rappel des régimes d’imposition en LMNP C’est le cas si vous avez opté pour le régime réel, grâce auquel vos charges sont comptabilisées pour les montants réellement engagés. On parle souvent d’une comptabilisation à l’euro près ». Au contraire, si vous avez opté pour le micro-BIC, vos charges ne sont pas déduites. L’administration applique un forfait de charges de 50 % 71 % dans le cadre de chambres d’hôtes, gîtes ruraux ou encore d’une location classée tourisme. Selon le montant de charges engagées annuellement pour la gestion de votre location meublée, l’option pour le régime réel sera plus ou moins intéressante. Comparez votre imposition selon le régime réel ou micro-BIC via notre simulateur. D’une année à l’autre, selon que vous engagiez des travaux ou non par exemple, il peut être intéressant de basculer dans l’un ou l’autre régime. Attention, l’option pour le régime réel doit être formulée avant le 1er février de l’année concernée. Location meublée au régime réel, quelles sont les charges déductibles ? En principe, toutes les charges engagées sont déductibles de vos loyers La liste complète des charges déductibles pour le loueur en LMNP ou LMP avec option pour le régime réel est donc assez longue. Sans entrer dans les détails, retenez que les familles de charges suivantes peuvent toutes donner lieu à déduction. Les charges déductibles en location meublée non professionnelle les frais d’entretien et de réparation dépenses courantes permettant le maintien du logement en bon état peintures, travaux de plomberie et d’électricité…. A noter, au-delà de 500 € des travaux, la dépense ne sera pas déduite mais amortie ; les taxes et impôts locaux CFE, taxe foncière… ; les frais de gestion frais de comptabilité, polices d’assurances relatives au bien loué, frais de gestion tels que les charges de syndic de copropriété, frais de conciergerie, factures de téléphone, d’électricité, d’eau, de gaz, frais de publicité… ; les intérêts d’emprunts contractés pour l’achat du bien ou à l’occasion de travaux d’amélioration, ainsi que l’assurance emprunteur Plus les charges amortissables Si les dépenses engagées au titre de travaux d’amélioration du bien ne sont pas déductibles, elles peuvent, comme l’immeuble, être amorties dépenses > 500 €. C’est le principe de l’amortissement LMNP grâce auquel vous aller pouvoir déduire une partie du coût d’acquisition de votre immeuble. Ces dépenses non déductibles correspondent à tous les travaux importants de construction et reconstruction, d’agrandissement et d’amélioration gros œuvre, ravalement, toiture, chauffage central ou ascenseur…. L’amortissement consiste à déterminer une charge fictive correspondant à la dépréciation du bien ou des constructions ajoutées ultérieurement. A titre d’exemple, vous achetez un bien d’une valeur de 160 000 €, comptablement, nous déterminons un amortissement de 5 440 € à déduire de vos loyers. En clair, tous les ans, un pourcentage de la valeur de l’immeuble est donc déductible de vos loyers. Pour le bailleur, ce calcul très avantageux, suppose vous l’aurez compris une bonne connaissance des durées d’amortissements et des traitements comptables que cela implique. C’est pourquoi dès qu’il y a option pour le régime réel, il est conseillé de confier votre comptabilité à un expert de la gestion des revenus locatifs meublés. Et ceci est encore une fois un bon calcul puisque les frais engagés pour la gestion comptable ouvrent droit une réduction d’impôt dès que vous adhérez à un CGA. Compte tenu de la déduction fiscale permise par le régime réel, faut-il toujours opter pour celui-ci ? En effet, ce bref aperçu de la déduction offerte par le régime réel en location meublée est très incitatif. Et de fait, dans 85 % des cas, compte tenu de la déductibilité des charges, le régime réel est le plus avantageux pour encadrer votre activité de location meublée. Cependant, il est toujours bon de s’en assurer. L’option a pu être très pertinente à une période où vous engagiez un volume de charges important. Mais si leur montant venait à se réduire, une nouvelle analyse comparée de votre imposition au régime réel ou micro-bic serait, à notre avis, recommandée. Consultez nos conseillers fiscalistes spécialistes de la déclaration des revenus locatifs meublés pour y voir plus clair.
Lacomptabilité en Belgique - Bonjour, Je démarre le mois prochain en tant que consultante indépendante. J'ai un contrat d'un an, mais avec une clause d'essai. Je ne veux donc pas immédiatement souscrire à un leasing ou faire l'achat d'un véhicule. Est-ce que les frais de location d'un véhicule pendant les 2 ou 3 premiers mois sont déductible ?
Une entreprise qui loue, pour les besoins de son activité, un véhicule particulier appelé véhicule de tourisme doit consacrer un traitement comptable particulier aux loyers versés. Par ailleurs, la charge peut faire l’objet d’une réintégration partielle et ainsi être soumise à l’impôt. Compta-Facile vous présente l’ensemble de ces dispositifs en répondant aux questions comment comptabiliser les loyers financiers en cas de location simple et les redevances de crédit-bail en cas de leasing d’un véhicule de tourisme ? Quelle fraction faut-il réintégrer fiscalement ? Sous quelles conditions ? Le traitement comptable des opérations liées à la location d’un véhicule de tourisme Comptabiliser les loyers et redevances versés Un véhicule de tourisme peut faire l’objet d’une location financière simple sans option d’achat. Voici l’écriture à comptabiliser dans ce cas, au titre des loyers versés On débite le compte 6135 Locations mobilières », Et on crédite le compte 401 Fournisseurs ». Lorsqu’il est pris en crédit-bail, la racine du compte diffère il ne s’agit pas d’un compte 613 mais d’un compte 612. La redevance est alors comptabilisée comme suit On débite le compte 6122 Crédit-bail mobilier », Et on crédite le compte 401 Fournisseurs ». Puis, lorsque l’échéance est payée On débite le compte 401 Fournisseurs », Et on crédite le compte 512 Banque ». Comptabiliser la levée d’option d’achat Lorsqu’une option d’achat est prévue au contrat et que l’entreprise utilisatrice la lève, elle devient propriétaire du véhicule, pour une valeur fixée contractuellement à l’avance appelée une valeur résiduelle. La comptabilisation de cette acquisition est effectuée de façon classique On débite le compte 2182 Matériel de transport », Et on crédite le compte 404 Fournisseurs d’immobilisations ». Lorsque la facture est réglée On débite le compte 404 Fournisseurs », Et on crédite le compte 512 Banque ». Enfin, comme pour toute immobilisation, l’entreprise devenue propriétaire doit estimer la durée réelle d’utilisation du bien et ainsi procéder à un amortissement du véhicule de tourisme On débite le compte 68112 Dotations aux amortissements et aux provisions sur immobilisations corporelles », Et on crédite le compte 28182 Amortissements du matériel de transport ». Crédit-bail et mentions dans l’annexe En cas de location financière simple, aucune information particulière ne doit être mentionnée dans l’annexe comptable. Ce n’est, en revanche, pas le cas pour le crédit-bail cette remarque n’est pas spécifique au crédit-bail de voiture particulière mais à toute opération de crédit-bail en général. Des renseignements précis doivent être fournis et notamment en matière d’engagements pris redevances payées, redevances restant à payer ventilées par échéance, valeur résiduelle…. Pour en prendre connaissance, il convient de consulter notre publication rédigée spécialement à cet effet le tableau des engagements de crédit-bail. Les limites fiscales de la déduction des loyers des véhicules de tourisme L’administration fiscale impose, dans certains cas, une limitation de la déduction des charges spécifique aux véhicules de tourisme on parle de réintégration de loyers excédentaires. Entreprises concernées Sont visés par cette mesure de limitation toutes les entreprises relevant des bénéfices industriels et commerciaux et soumises à l’impôt sur le revenu ou à l’impôt sur les sociétés, des bénéfices non commerciaux ou encore des bénéfices agricoles. En sont exemptées les entreprises dont le véhicule est nécessaire à leur activité en raison de leur objet même. Il s’agira notamment des entreprises de location de voitures ayant recours au crédit -bail et des exploitants de taxis versant des loyers à une entreprise de location de véhicules particuliers. Voitures concernées Les véhicules de tourisme frappés par cette réintégration doivent faire l’objet d’une location de plus de 3 mois ou de moins de 3 mois si elle est renouvelable ou d’un crédit-bail. De plus, ils doivent être immatriculés en tant que voitures particulières sous le sigle VP » de la carte grise. Cela comprend notamment les véhicules N1 » destinés au transport de voyageurs et de leurs bagages, les voitures commerciales , canadiennes » et breaks . Ces véhicules peuvent être loués neufs ou d’occasion. Ils peuvent être assortis ou non d’une option d’achat. Calcul de la réintégration des loyers de véhicules de tourisme L’entreprise qui loue un véhicule de tourisme doit réintégrer une fraction des loyers ou redevances qu’elle a versée à l’entreprise propriétaire. Cette réintégration est égale à la réintégration qu’est tenue d’opérer, au titre de l’amortissement excédentaire du véhicule de tourisme, une entreprise propriétaire d’un véhicule acquis à un prix identique. En d’autres termes, il est nécessaire de simuler que l’entreprise locataire soit propriétaire du véhicule de tourisme en question. Concrètement, l’entreprise locataire doit réintégrer la part des loyers qu’elle supporte au cours d’un exercice et qui correspond à l’amortissement pratiqué par le bailleur afférent à la fraction excédentaire du prix d’acquisition du véhicule, augmenté de la taxe sur la valeur ajoutée TVA. En pratique, une entreprise locataire ne connaît pas le prix TTC versé par l’entreprise propriétaire pour acquérir le véhicule de tourisme, ni la durée sur laquelle il est amorti ou encore la date à laquelle elle l’a acheté. C’est pourquoi il incombe obligatoirement à l’entreprise bailleresse de faire connaître à l’entreprise utilisatrice la part du loyer non déductible fiscalement. Modalités pratiques de la réintégration fiscale des loyers excédentaires Les loyers excédentaires faisant l’objet d’une réintégration doivent être mentionnés sur les lignes WF de l’imprimé n° 2058-A pour les entreprises relevant des bénéfices industriels et commerciaux, 36 de l’imprimé n° 2035-B pour les entreprises relevant des bénéfices non commerciaux. A lire également sur Compta-Facile La comptabilisation des dépenses de carburant, La comptabilisation des reçus et factures de télépéage autoroute, La comptabilisation de la vignette crit’air, La comptabilisation de l’assurance d’un véhicule. Conclusion la location d’une voiture particulière donne également lieu à une réintégration fiscale en fonction de l’amortissement pratiqué chez l’entreprise bailleresse. Cette charge sera donc neutralisée partiellement et imposée fiscalement.
acheterun véhicule ou le louer pour une durée d'au moins deux ans. Le véhicule peut être une voiture particulière, une camionnette électrique ou hybride rechargeable. Notez que depuis le 9 décembre 2020, vous pouvez aussi bénéficier du bonus écologique pour l'achat d'un véhicule électrique d'occasion (voiture ou camionnette).
A-AA+PREcrit le 01/09/2006 16470VOTERBonjour,Il me semble que les loyers relatifs à un véhicule de tourisme ne sont pas entièrement mon cabinet, l' EC fait un calcul pour déterminer la quote part déductible18300/ valeur X montant annuel des question est de savoir quel est le montant de la valeur du bien à mettre au dénominateur ?Est ce le prix d'achat ou la valeur locative que les entreprises transmettent au moment de la taxe professionnelle?merciRépondreCadre du secteur privéRe Loyers non déductibles sur un véhicule de tourismeEcrit le 01/09/2006 17590VOTERBonjour,Il s'agit de la valeur d'achat. Cette valeur doit normalement figurer dans le contrat de même que la fraction de loyer non Loyers non déductibles sur un véhicule de tourismeEcrit le 03/09/2006 1834+5VOTERBonjour,Je n'arrive pas à comprendre votre formule, il me semble qu'elle soit déterminer le loyer déductible = loyers payés - réintégration vais illustrer par un exemple Un véhicule dont la valeur d'origine est de 30 000€ TTCLoyer annuel TTC = 7 000€.Loyer sur la période 260 jours sur 365 = 7 000X260/365 = 4986Durée de vie = 5 fiscale = 30 000 - 18 300/5 x 260/365= 1667Loyer déductible = 4986-1667= 3319€NB il faudra faire attention aux véhicules acquis à compter du 1er janvier 2006 et dont la date de première mise en circulation est intervenue après le 1er juin 2004 qui ont un taux d'émission de dioxyde de carbone > à 200 g/km, cette limite est fixée à 9 900 € au lieu de 18 300RépondreLJ4- Expert-comptable en entreprise- Examinateur au DEC mémoireRe Loyers non déductibles sur un véhicule de tourismeEcrit le 03/09/2006 1839+1VOTERBonjour,Je crois que vous n'avez pas assez cherché dans la répondu sur ce sujet il n'y a pas Loyers non déductibles sur un véhicule de tourismeEcrit le 03/09/2006 18480VOTERExcusez moi LJ4, je ne l'ai pas être ai je mal cherché et je m'en pouvez vous me dire pourquoi vous appliquez un prorata en nombre de jours 260/365 ?Donc vous pensez que la formule que je vous ai donné n'est pas bonne, pourtant elle permet de calculer la part déductible du loyer par rapport à la limite fiscal'Ainsi il faudrait retirer l'amortissement exédentaire comme si on était propriétaire?En tout cas merci beaucoupRépondreVincent2Expert-Comptable Stagiaire en cabinetRe Loyers non déductibles sur un véhicule de tourismeEcrit le 03/09/2006 18550VOTERBonjour,c'est en effet celà , il faut traiter le véhicule comme si l'on était propriétaire. Le prorata utilisé par fandefisca correspond à la durée de location sur l'année, c'est tout à fait Loyers non déductibles sur un véhicule de tourismeEcrit le 03/09/2006 18560VOTERBonjour Eclair,Le calcul de la réintégration fiscale pour le loyer est le même que si on avait été exemple, si vous avez détenu le véhicule 260 jours sur propriétaire, vous amortissez sur cette durée 260 jours sur étant locataire, vous payez aussi sur cette votre formule, je n'y comprends rien, j'ai essayé de faire le calcul, mais, je ne parviens pas à trouver mes ne pas faire comme tout le monde, reprendre simplement la formule de l'administration fiscale ? au moins, celle là , on ne pourra pas vous contredireRépondreEmployé en comptabilitéRe Loyers non déductibles sur un véhicule de tourismeEcrit le 28/12/2006 11580VOTERBonjour,je reviens sur ce topic car je ne comprends pas bien cette durée de 260 on amortit un bien c'est sur une duree de 360 jours soit 30j par on loue un véhicule, on paye un loyer calculé sur les jours de detention et non sur 5 jours 260= 5X12X4,3333?De plus, dans les comptes les loyers comptabilisés sont de 7000 euros et non 4986, c'est cela que je ne comprends pas?merciRépondrepartager partager partager A-AA+PRTopPublicité
Lacomptabilité en Belgique - Bonjour, Je désire acheter une véhicule neuf de type utilitaire pour mon activitée complémentaire. Il s'agit d'une camionette (Citroen Berlingo). J'aimerais savoir quel est le pourcentage que je peux déduire à la TVA si c'est mon second véhicule. Est-ce que je pourrais le déduire à 100%? Quel caractéristique doit avoir mon premier véhicule?
Ce dossier a été mis à jour pour la dernière fois le 2 mars 2021. Le chef d’entreprise qui a besoin de se déplacer en véhicule dans le cadre de son activité ce qui est assez fréquent peut utiliser son véhicule personnel pour ses déplacements professionnels ou prendre un véhicule de société sur l’entreprise. Voici une étude fiscale comparative de ces deux solutions possibles pour le chef d’entreprise. On considère ici que le véhicule utilisé est immatriculé dans la catégorie voiture particulière. Si nécessaire, voici un second dossier complémentaire les véhicules utilitaires. Acheter ou louer un véhicule de société avec l’entreprise Le dirigeant peut tout d’abord choisir d’acquérir ou de louer un véhicule de société avec son entreprise pour effectuer ses déplacements professionnels, et éventuellement l’utiliser également à titre personnel. Les charges déductibles au niveau de l’entreprise Les amortissements d’un véhicule de société lorsque le véhicule est acheté, ou les loyers versés en cas de location ou crédit-bail, ne sont déductibles qu’à hauteur d’un certain montant. Le surplus n’est pas déductible du résultat imposable et doit être réintégré fiscalement. La déduction de l’amortissement des véhicules particuliers VP est plafonnée à 18 300 euros ou 9 900 euros si le véhicule émet plus de 200 grammes de CO2 par kilomètres. Le plafonnement est exactement le même en cas de prise en location ou crédit-bail du véhicule. Ensuite, les dépenses courantes liées au véhicule de société sont déductibles en totalité dès lors qu’elles satisfont aux conditions générales de déductibilité des charges. Il s’agit notamment des dépenses de carburant, des réparations, de l’entretien, des primes d’assurance… Enfin, lorsque l’entreprise est soumise à l’impôt sur les sociétés, la taxe sur les véhicules de société TVS n’est pas déductible du résultat imposable. Plus d’infos la fiscalité des véhicules de tourisme Les avantages en nature en cas d’utilisation personnelle Si le chef d’entreprise utilise le véhicule de fonction à des fins personnelles, cela constitue un avantage en nature soumis aux cotisations sociales et imposable à l’impôt sur le revenu. L’avantage en nature peut être évalué sur la base des dépenses réellement engagées ou sur la base d’un montant forfaitaire. Si le chef d’entreprise est TNS gérant majoritaire de SARL, gérant associé d’EURL ou entrepreneur individuel, l’avantage en nature est obligatoirement évalué d’après les dépenses réellement engagées. La récupération de la TVA La TVA payée au titre de l’acquisition d’un véhicule de société ne peut pas être récupérée par l’entreprise. Lorsque le véhicule est pris en location ou en crédit-bail, la TVA payée sur les loyers n’est pas récupérable. Le principe est le même pour les dépenses de réparation et d’entretien, la TVA n’est pas récupérable. Concernant les dépenses de carburant pour les véhicules de société la TVA ne peut pas être récupérée lorsque le carburant est de l’essence,elle est récupérable à hauteur de 80% lorsqu’il s’agit de gazole ou de superéthanol E85, et à 100% lorsqu’il s’agit de GPL. Plus d’infos la TVA sur les dépenses de carburant La taxe sur les véhicules de sociétés TVS Les véhicules possédés ou loués par l’entreprise qui sont immatriculés à son nom dans la catégorie des voitures particulières ou des véhicules N1 sont taxables à la TVS. Gérer son entreprise - Nos outils pour vous accompagner Utiliser son véhicule personnel à titre professionnel Le dirigeant peut également choisir, pour ses déplacements professionnels, d’utiliser son véhicule personnel et d’effectuer des remboursement de frais. C’est une solution souvent privilégiée en début d’activité pour limiter les investissements. Le remboursement des frais professionnels Le chef d’entreprise pourra prétendre au remboursement de ses frais suivant plusieurs méthodes Frais réels amortissement du véhicule, frais de carburant, dépenses de réparation et d’entretien, primes d’assurances. Avec ce système, il faut être en mesure de justifier le montant exact des frais ;Indemnités forfaitaires kilométriques si le chef d’entreprise est propriétaire de son véhicule personnel ;Indemnités forfaitaires carburant si le chef d’entreprise est locataire de son véhicule personnel. Les montants reçus par le chef d’entreprise au titre des remboursements de frais professionnels ne sont pas imposables à l’impôt sur le revenu, qu’il s’agisse d’un remboursement de frais réels ou d’indemnités forfaitaires kilométriques. Pour cela, les frais doivent être justifiés voir ci-dessous. Les charges déductibles au niveau de l’entreprise Lorsque le chef d’entreprise opte pour les frais réels, les dépenses correspondantes sont déductibles du résultat imposable. Les dépenses doivent être appuyées par des justificatifs factures notamment. La déductibilité du remboursement des indemnités kilométriques est plafonnée en fonction d’un barème fourni par l’administration fiscale. C’est la même chose pour le remboursement forfaitaire des frais de carburant. La fraction éventuelle de remboursement qui excède ces plafonnements n’est pas déductible du résultat imposable au niveau de l’entreprise. Dans tous les cas, les déplacements doivent être justifiés. Pour chaque déplacement, il faut indiquer le nombre de kilomètres parcourus, la date et l’objet du déplacement. Enfin, la TVS éventuellement due n’est pas déductible du résultat imposable si l’entreprise est soumise à l’impôt sur les sociétés. La récupération de la TVA En cas d’utilisation du barème forfaitaire des indemnités kilométriques ou du barème carburant, il n’y a aucune TVA applicable, la récupération est donc sans objet. En cas de remboursement de frais réels, la TVA pourra être récupérée sur certaines dépenses de carburant règles similaires à celles exposées ici. La taxe sur les véhicules de sociétés TVS Le véhicule immatriculé au nom du chef d’entreprise dans la catégorie des voitures particulières ou des véhicules N1, et pour lequel l’entreprise rembourse des frais, est taxable à la TVS au niveau de l’entreprise. Toutefois, la TVS est rarement due dans cette situation car Un coefficient progressif en fonction du nombre de kilomètres annuels s’applique sur la TVS brute calculée. Le kilométrage annuel doit excéder 15 000 km pour que ce coefficient ne soit pas de 0%,Puis un abattement de 15 000 euros est appliqué sur le montant total de la taxe due sur l’ensemble des véhicules possédés ou loués par le chef d’entreprise et les salariés.
Sagissant des véhicules de tourisme (non utilitaires), l’amortissement qui porte sur la fraction du prix d’acquisition supérieure à certains plafonds n’est pas déductible. Combien en 2020 ? Pour les véhicules acquis depuis le 01.01.2017, le plafond de déductibilité est fixé à : 30 000 € pour les voitures dont le taux de rejet de CO 2 est inférieur à 20 g/km ; 20 300
L'utilisation d'un véhicule de fonction est considérée comme un avantage en nature qui est déclaré et soumis au prélèvement de charges sociales. L'Entreprise Le véhicule de société est un incontournable des stratégies de rémunération globale. Pas forcément parce qu'il se révèle attractif, au terme des calculs comparatifs, mais en raison de sa haute charge symbolique. Il s'agit, pour le praticien du conseil en rémunération, d'un périphérique au salaire particulièrement difficile à valoriser. Le calcul d'équivalence permettant de comparer l'attribution d'un véhicule de fonction avec une augmentation de salaire suppose un chaînage complexe. Le véhicule de fonction peut très facilement devenir un avantage acquis et démonétisé. Dans ce cas, c'est au pire moment qu'il retrouve une valeur, parfois fantasmée quand l'entreprise décide sa suppression. Pour disposer d'une évaluation objective de l'avantage voiture, nous allons distinguer deux cas le cadre, pour lequel l'entreprise voudra déterminer un équivalent salaire, et le dirigeant possédant, qui cherchera à réduire les charges pesant sur sa société. 1. Le coût global d'un véhicule pour l'entrepriseLes coûts directs En premier lieu, comme un particulier, l'entreprise assume ce que nous appelons les coûts directs l'achat ou la location, la carte grise et les coûts d'exploitation assurance, carburant et entretien. Pour illustrer ce premier poste de charges, nous allons considérer trois véhicules, d'entrée, de milieu et de haut de gamme. Les coûts directs de ces trois catégories de véhicules sont détaillés dans la partie supérieure du tableau 1 ci-dessous. Les coûts indirectsAux coûts directs, il convient ensuite d'ajouter les coûts indirects, réservés aux véhicules de société. Ils proviennent de quatre sources la taxe sur les véhicules de société TVS, l'impôt société IS sur les coûts non déductibles, la cotisation foncière des entreprises et les charges sociales patronales dues sur le montant de l'avantage en nature. Calcul du coût pour l'entreprise d'un véhicule d'entrée de gamme,de milieu de gamme et de haut de gammeENTREE DE GAMMEMILIEU DE GAMMEHAUT DE GAMME- Caractéristiques du véhiculePrix TTC en euros18 00030 000 65 000Emission de CO2 en g/km123180254CV fiscaux5915Kilométrage annuel20 00020 00020 000- Calcul du coût de financement en intégrant l'effet de la reventeDurée d'utilisation en années444Mode de financementcrédit sur 4 anscrédit sur 4 anscrédit sur 4 ansTaux du crédit5%5%5%Annuité de crédit en euros4 9748 29117 963Carte grise en euros58104427COUT ANNUALISE DU FINANCEMENT en euros3 6716 38414 291- Calcul du coût d'exploitationConsommation aux 100 km en l6912Coût du carburant au litre en euros1,431,431,43Coût annuel du carburant en euros1 7162 5743 432Coût annuel de l'assurance en euros6001 0001 500Coût annuel de l'entretien + pneus en euros8001 4002 200COUT ANNUALISE D'EXPLOITATION en euros3 1164 9747 132TOTAL DES COUTS ANNUALISES DIRECTS en euros6 78711 35821 423- Calcul des coûts indirectsTaxe sur les véhicules de société6152 7004 826Impôt société2051 8756 200Cotisation foncière des entreprises5328871 922Charges sociales patronales9721 6203 510TOTAL DES COUTS ANNUELS INDIRECTS en euros2 3247 08216 458Coûts indirects/coûts directs34,24%62,35%76,82%COUT ANNUEL TOTAL POUR L'ENTREPRISE en euros9 11118 44037 881La taxe sur les véhicules de société TVSPour les véhicules dont la première mise en circulation est intervenue à compter du 1er juin 2004, et qui n'étaient pas possédés ou utilisés par l'entreprise avant le 1er janvier 2006, le tarif de la taxe est désormais basé sur un barème écologique. Il est calculé en fonction du taux d'émission de dioxyde de carbone selon le barème ci-dessous. Taux d'émission de C02 en g/kmTarif de la taxe par g, en eurosInférieur ou égal à 500Supérieur à 51 et inférieur ou égal à 1002Supérieur à 101 et inférieur ou égal à 1204Supérieur à 121 et inférieur ou égal à 1405,5Supérieur à 141 et inférieur ou égal à 16011,5Supérieur à 161 et inférieur ou égal à 20018Supérieur à 201 et inférieur ou égal à 25021,5Supérieur à 25127Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Pour les véhicules possédés ou utilisés avant le 1er janvier 2006 ou dont la 1ère mise en circulation est intervenue avant le 1er juin 2004, le tarif de la taxe est fonction de la puissance fiscale du véhicule selon le barème ci-dessous. Puissance fiscale en CVTarif en eurosJusqu'à 3 CV750de 4 à 6 CV1 400de 7 à 10 CV3 000de 11 à 15 CV3 600A partir de 16 Cv4 500L'impôt société IS L'IS procède de deux types de charges non déductibles la taxe sur les véhicules de société et une quote-part de l'amortissement ou du loyer. Dans son intégralité, la taxe sur les véhicules est non déductible. Ainsi, une taxe de 4 500 euros provoque en fait un coût annuel de 6 000 euros pour l'entreprise 4 500 + 1/3 d'impôt société. Concernant la déduction de l'amortissement du véhicule, nous devons distinguer le véhicule dont le taux d'émission de dioxyde de carbone excède 200 grammes par kilomètre. La fraction déductible du prix d'acquisition est alors ramenée à 9 900 euros. Sinon, l'amortissement reste déductible pour la fraction du prix d'acquisition n'excédant pas 18 300 euros. La Cotisation Foncière des Entreprises CFELa taxe professionnelle est remplacée depuis 2010 par la Contribution Economique Territoriale CET. La CET est composée de la Cotisation foncière des Entreprises CFE qui est calculée sur la valeur locative du véhicule. Notons qu'elle est basée sur la valeur à neuf, toutes taxes comprises. Un véhicule vieux de trois ans, ayant parcouru 100 000 km, subit la CFE sur sa valeur du premier jour d'exploitation. Les charges sociales patronales L'utilisation privative du véhicule de société crée un avantage en nature. Son évaluation peut se faire au réel ou au forfait. L'évaluation au réel comprend, au prorata du kilométrage privé, l'amortissement du prix d'achat public TTC sur cinq ans ou le coût de location, l'assurance, les frais d'entretien, voire le carburant. Sur le montant de l'avantage ainsi calculé, l'entreprise doit acquitter les charges sociales. L'évaluation au réel confronte à la difficulté de la preuve comment justifier du kilométrage privé ? L'entreprise peut sécuriser son dispositif en utilisant l'évaluation au forfait. Lorsque le véhicule a moins de cinq ans et que l'employeur prend en charge le carburant, le forfait est égal à 12 % du prix d'achat TTC, ou à 40 % du coût global annuel de la location, de l'assurance et de l'entretien. La partie inférieure du tableau 1 ci-dessus fait apparaître les montants des quatre postes de coûts indirects, respectivement pour un véhicule d'entrée, de milieu ou de haut de gamme. Ces calculs démontrent la forte croissance des coûts indirects. Un véhicule haut de gamme déclenche des coûts indirects d'environ 80 % des coûts directs ! 2. L'équivalent en salaire du véhicule de société L'attribution d'un véhicule de fonction se traduit d'abord par une perte de revenu immédiat pour le salarié. L'avantage en nature lui coûte deux prélèvements supplémentaires les charges sociales salariales et l'impôt sur le revenu. Mais le salarié bénéficie de deux gains. D'abord, les charges sociales déclenchées par l'avantage en nature lui permettent d'acheter des droits à la retraite supplémentaires. Ensuite, l'utilisation privative du véhicule de société lui évite de devoir financer un véhicule personnel. Le gain global offert au salarié est donc égal à la somme de ces deux gains, diminuée de la perte de revenu immédiat. L'équivalent en salaire du véhicule de fonction devient le salaire brut permettant de générer le même gain global. Quand le gain global s'élève à 10 345 euros, son équivalent en salaire est égal à 14 382 euros. Calcul de l'équivalent en salaire d'un véhicule d'entrée de gamme, de milieu de gamme et de haut de gammeConséquencess sur le revenu immédiat et la retraite en euros par anEntrée de gammeMilieu de gammeHaut de gammePerte de revenu immédiat9581 5973 461Cotisations supplémentaires de retraite351585 1 267Gain relatif à l'utilisation privative en euros par anGain si 5 000 km privés par an1 6972 8395 356Gain si 10 000 km privés par an3 3935 679710 712Gain si 20 000 km privés par an6 78711 35821 423Gain global en euros par an Gain global si 5 000 km privés par an1 0891 8273 161Gain global si 10 000 km privés par an2 7864 6668 517Gain global si 20 000 km privés par an6 17910 34519 229Equivalent en salaire brut en euros par anEquivalent en salaire si 5 000 km privés par an1 5092 5304 373Equivalent en salaire si 10 000 km privés par an3 8696 48011 825Equivalent en salaire si 20 000 km privés par an8 59114 38226 730Un salaire brut de 14 382 euros distribue en effet au salarié un gain global équivalent à celui de l'avantage voiture. En considérant un taux de charges sociales de 22 %, dont la CSG et la CRDS, et un taux d'impôt sur le revenu de 30 %, nous aboutissons aux résultats synthétisés dans le tableau, en reprenant nos trois types de véhicule et en faisant varier le nombre de kilomètres privés. 3. Comparaison entre véhicule de fonction et véhicule privé plus indemnités kilométriques Comment choisir entre véhicule de fonction et véhicule privé avec versement d'indemnités kilométriques ? Cette problématique concerne au premier chef le dirigeant. Nous traitons ici l'exemple d'un véhicule haut de gamme. Ses conditions d'utilisation sont les suivantes 30 000 km par an, dont 5 000 relèvent de la vie privée. Nous considérons que le véhicule est financé à crédit, au taux de 5 % sur 48 mois, et que l'entreprise est éligible à l'exonération de taxe sur les véhicules de société relative au remboursement des indemnités kilométriques, dans la limite de 15 000 euros. Le salaire brut annuel du dirigeant s'élève à 100 000 euros. Les éléments de comparaison sont regroupés dans le tableau ci-contre. Dans notre exemple, l'option véhicule de fonction coûte 10 000 euros par an à l'entreprise. Sur quatre années d'exploitation, ce sont 40 000 euros qui sont perdus. De ce cas particulier, nous pouvons tirer un premier principe paradoxal plus l'exercice des fonctions exige d'accomplir des kilomètres professionnels, moins on a intérêt à opter pour un véhicule de fonction. C'est la conclusion étonnante que dicte le poids des coûts indirects. Véhicule de fonction ou véhicule privé plus indemnités kilométriques? Calculs comparatifs pour un véhicule haut de gammeVEHICULE DE FONCTIONVEHICULE PRIVE + INDEMNITES KILOMETRIQUESEn eurosCoût entreprise maintenuGain final maintenuCoût pour l'entreprise182 737182 737172 426Charges sociales patronales46 65051 45348 449Coût direct du véhicule22 712Couts fiscaux13 375Coût fiscaux sur véhicule personnel00Coût des indemnités kilométriques11 80011 800Salaire brut annuel100 000119 484112 176Avantage en nature7 800Salaires AN soumis aux charges107 800119 484112 176Charges sociales salariales21 20323 36222 012Salaire net78 79796 12190 164Impôts sur le revenu8 49711 1589 494Rémunération après impôt70 30084 96380 671Financement annuel personnel10 37110 371Coût véhicule personnel22 17122 171Indemnités kilométriques11 80011 800Gain final70 30074 59270 300Cet article a été mis à jour le 09/10/2014 Le véhicule de fonction affiche cependant deux atouts. Il est doté d'une incontestable force managériale, efficace pour recruter et fidéliser, et offre un vrai confort de gestion ni décompte des indemnités kilométriques à opérer, ni trésorerie personnelle à engager. Reste, pour chaque cas, à vérifier que le prix de ce confort ne se révèle pas fiscalement et socialement exorbitant. Cet article a été mis à jour le 09/10/2014 Les plus lus OpinionsLa chronique d'Albert MoukheiberAlbert MoukheiberLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain Fort
Unabattement forfaitaire. Le fisc applique ensuite un abattement forfaitaire de 50 % et vous n'êtes donc imposé que sur 50 % de vos recettes. Le taux d'imposition dépend alors de votre taux marginal d'imposition, c'est-à -dire du montant total de vos revenus. Attention, corrélativement, vous ne pouvez déduire aucune charge (intérêts d
En tant que professionnel libéral, vous avez certainement besoin de vous déplacer dans l’exercice de votre activité. Professionnels médicaux et paramédicaux à domicile, photographes, avocats, interprètes, architectes… de nombreuses professions nécessitent l’utilisation d’un véhicule. Comment acquérir un véhicule pour son activité ? Achat, location ou encore leasing, quelle est l’option la plus rentable ? 👉 Découvrez notre guide complet sur les véhicules pour les freelances Sommaire Le choix du patrimoine Le choix du financement Le choix du véhicule professionnel La taxe sur les véhicules de société TVS Résumé Cet article a été initialement diffusé sur le groupe Facebook Compta Pour Les Professions Libérales, réseau d'entraide des praticiens libéraux dans leur comptabilité. Suivant votre choix, les conséquences sur votre comptabilité seront différentes, c’est pourquoi vous devez prendre le temps d’étudier chaque option. Ce choix doit aussi dépendre de votre situation, il n’existe pas une meilleure solution en soi, tout dépend de votre activité et de l’utilisation que vous ferez du véhicule. Vous devez tout d’abord choisir entre le barème des indemnités kilométriques ou les frais réels pour déduire en charge vos frais de déplacement. Notre article “Indemnités kilométriques ou frais réels enfin une réponse claire !” peut vous aider à faire le bon choix. En effet, si vous optez pour le barème des indemnités kilométriques, le forfait prend en compte l’intégralité des dépenses liées au véhicule, y compris les amortissements et les intérêts d’emprunt. Attention vous ne pouvez pas choisir le barème des indemnités kilométriques si vous avez un véhicule utilitaire. Si vous faites le choix des frais réels, beaucoup plus de critères entrent en compte. Le choix du patrimoine Le premier choix important est celui du patrimoine dans lequel va être intégré le véhicule. En effet, en tant que professionnel libéral, vous avez créé une entreprise individuelle, à votre nom, qui possède son propre patrimoine. Vous avez donc le choix entre votre patrimoine personnel et le patrimoine professionnel de votre entreprise. Les répercussions comptables ne sont pas négligeables, comme nous allons le voir ci-dessous. Si vous faites rentrer votre véhicule dans votre patrimoine professionnel, les frais liés à celui-ci seront tous considérés comme des charges pour votre activité, et vous pourrez donc les déduire de votre bénéfice imposable. L’amortissement, les intérêts d’emprunts, les charges d’entretien, de réparation et d’usage sont déductibles au prorata de l’utilisation professionnelle du véhicule. En effet, vous allez certainement utiliser ce véhicule pour d’autres déplacements, non professionnels, qui resteront à votre charge. Lors de l’achat du véhicule professionnel, nous vous conseillons d’établir une distinction de vos deux utilisations, professionnelle et personnelle. Par exemple, votre usage sera à 75 % professionnel et à 25 % personnel. Il sera alors plus simple pour vous de calculer les charges à déduire sur l’ensemble de vos frais de véhicule, vous n’en garderez que 75 % en tant que charges professionnelles. Enfin, si vous effectuez une plus-value lors de la revente du véhicule, celle-ci sera considérée comme une recette et sera donc imposable. Il existe néanmoins des exceptions sur ces plus-values selon le Bulletin Officiel des Finances Publiques, une exonération est prévue pour les indépendants installés depuis plus de 5 ans. Elle est totale pour les professionnels réalisant moins de 90 000 € de chiffre d’affaires, et partielle pour ceux réalisant entre 90 000 et 120 000 € de chiffre d’affaires. Si vous êtes dans ce cas, il est donc beaucoup plus intéressant pour vous de faire entrer votre véhicule dans votre patrimoine professionnel. Si vous faites rentrer votre véhicule dans votre patrimoine privé, de nombreux frais resteront à votre charge les intérêts d’emprunt, les amortissements, l’assurance, la carte grise … seront des frais considérés comme personnels et ne pourront pas être déduit en charge de votre bénéfice imposable. En revanche, les dépenses liées à l’utilisation du véhicule, c’est-à -dire le carburant, l’entretien et les petites réparations telles qu’une vidange ou un changement de pneumatique, pourront être déductibles. De plus, en cas de revente du véhicule, vous ne serez pas soumis à un impôt spécifique car ce revenu sera perçu comme personnel et non dépendant de votre activité professionnelle. Il est donc plus avantageux de faire entrer votre véhicule dans votre patrimoine professionnel si vous utilisez majoritairement celui-ci pour votre activité. Si vos déplacements professionnels sont peu nombreux, il est préférable pour vous de garder votre véhicule dans votre patrimoine personnel. Explication L’amortissement comptable du véhicule Lorsque vous achetez un véhicule, neuf ou d’occasion, sa valeur comptable est égale à son prix d’achat. Au fil du temps, votre véhicule professionnel va perdre de la valeur, à cause de l’usure et de son kilométrage. On estime qu’un véhicule de tourisme neuf est amorti en 5 ans. Pour connaître les amortissements, il faut donc diviser son prix d’achat par le nombre d’années. Exemple pour un achat à 15 000 € 15 000 / 5 = 3 000. Les amortissements seront donc de 3 000 €, autrement dit votre véhicule perd 3 000 € de sa valeur chaque année, définissant à nouveau sa valeur comptable. En effet, au bout de 2 ans, la valeur comptable de votre véhicule sera alors de 9 000 € 15 000 – 3000 – 3000. C’est cette valeur comptable qui va définir la plus-value ou la moins-value de votre véhicule à sa revente si vous le vendez plus cher que sa valeur comptable, c’est une plus-value, alors que si vous le vendez moins cher que sa valeur comptable, c’est une moins-value. En reprenant notre exemple, si vous vendez votre véhicule inscrit à votre patrimoine professionnel au bout de 2 ans à 11 000 €, vous effectuerez une plus-value de 2 000 € et devrez payer des impôts sur cette somme. Le choix du financement Il existe trois solutions de financement de votre véhicule professionnel l’achat avec ou sans emprunt, le crédit-bail et la location longue durée. L’achat classique, via un apport personnel et/ou un emprunt, vous permet de déduire entièrement les amortissements linéaires et les intérêts d’emprunts si le véhicule est destiné à votre activité libérale et qu’il est donc inscrit à votre patrimoine professionnel. Attention cependant, une limite existe pour les véhicules de tourisme, nous y reviendrons dans la partie sur le choix du véhicule. Le crédit-bail, la location avec option d’achat LOA et le leasing désignent tous trois le même dispositif de location où le locataire du véhicule peut le racheter à la fin de sa période contractuelle. Pendant la période de location, vous n’êtes donc pas propriétaire du véhicule, mais vous pouvez le devenir par la suite. Le paiement se fait par loyer mensuel. Bien souvent, le prix total de la location et de l’achat du véhicule est plus élevé que son prix initial, mais il vous faut prendre en compte les loyers de location généralement moins élevés que les intérêts d’emprunt. Si vous avez une petite activité, il peut être plus facile pour vous de choisir ce système de financement. En location longue durée LLD, vous n’êtes pas propriétaire du véhicule et ne pouvez pas le devenir, il reste la propriété du loueur. Vous devrez rendre le véhicule à la fin de la période contractuelle. Le paiement se fait par loyer mensuel. Dans ces deux dernières solutions, vous n’êtes pas propriétaire du véhicule pendant la location. Vous n’avez donc pas d’amortissement à comptabiliser ni d’intérêts d’emprunt, seuls les frais de location sont pris en compte et déductibles en charge, avec les frais d’entretien. La gestion comptable de votre véhicule en est donc simplifié. Cependant, comme pour les amortissements d’un véhicule acheté, les frais de location sont limités pour les véhicules de tourisme. Le choix du véhicule professionnel Vous pouvez choisir entre deux types de véhicules les véhicules de tourisme ou les véhicules utilitaires. Cette différence est indiquée sur la carte grise. Les véhicules de tourisme sont tous les véhicules de ville que vous pouvez acheter en tant que particulier, tandis que les véhicules utilitaires sont des véhicules créés spécifiquement pour les professionnels. Les fourgons, pick-ups, camions et camionnettes sont considérés comme des utilitaires. Le véhicule peut être neuf ou d’occasion, cela n’influe pas sur les règles comptables. Le véhicule utilitaire permet de déduire l’intégralité de son prix en amortissement ou en loyer, alors qu’il y a une limitation pour les véhicules de tourisme en fonction de leur production de CO2. Voici un tableau récapitulatif du barème Pour un véhicule acheté en 2016, la limite de déduction en charge sera de 9 900 € s’il émet plus de 200 grammes par kilomètres et de 18 300 € s’il émet moins de 200 g/km. Ce barème change chaque année comme nous pouvons le constater, pour inciter les professionnels à investir dans des véhicules moins polluants. Soyez très vigilant aux effets de seuil, le véhicule doit absolument être sous le seuil de pollution pour bénéficier de l’amortissement correspondant. Si votre activité le permet, optez pour le 100 % électrique vous pourrez bénéficier du plafond de déduction le plus important et ferez des économies sur le carburant. Exemple Vous achetez cette année 2018 un véhicule de tourisme à 21 000 € qui émet 110 g/km de CO2. Le plafond de déduction est donc de 18 300 €. Vous ne pourrez déduire en amortissement que 18 300 €, il restera donc 2 700 € 21 000 – 18 300 entièrement à votre charge. Un véhicule utilitaire est donc plus avantageux pour une utilisation en grande majorité professionnelle. Dans la plupart des cas, votre véhicule vous servira aussi personnellement, pour votre vie de famille, et il est alors plus pratique d’opter pour un véhicule de tourisme. L’avantage de l’utilisation personnelle est bien souvent plus important que l’avantage fiscal. La taxe sur les véhicules de société TVS Pour clore cet article sur l’achat ou la location de véhicules professionnels, nous souhaitions mentionner l’existence de la taxe sur les véhicules de société, plus communément appelée TVS. Qui doit payer la TVS ? Cette taxe s’applique à toutes les sociétés les entrepreneurs individuels en sont donc exemptés qui possèdent un véhicule de tourisme ou une camionnette destinée au transport de passagers. Les véhicules utilitaires ne sont pas concernés tout comme les véhicules commerciaux, industriels ou agricoles. Notons également qu’il faut, pour les sociétés qui ne font que rembourser des indemnités kilométriques, que la société rembourse des indemnités kilométriques pour une distance supérieure ou égale à 15 000 km par an et par véhicule. Les véhicules loués plus de 30 jours consécutifs par les membres de l’entreprise sont également concernés par cette exonération. Il peut donc être plus avantageux de rembourser les frais kilométriques qu’acheter une voiture au compte de votre entreprise, c’est un calcul qu’il vous faudra faire. Quels véhicules sont concernés ? Sont concernés tous les véhicules utilisés en France par la société, y compris ceux loués à cette dernière, quel que soit leur pays d’immatriculation. Sont également taxés ceux immatriculés en France au nom de la société ou possédés ou pris en location par les salariés, associés ou dirigeants en tant que personnes physiques pour lesquels elle rembourse des frais kilométriques au dessus des seuils mentionnés précédemment. Pour les véhicules loués, la TVS n’est due qu’à partir de 30 jours de location consécutifs au cours du trimestre civil. Exemple Une société loue des véhicules de tourisme 25 jours en janvier, 10 jours en avril, 15 jours en août, 21 jours en novembre et 19 jours en décembre. Malgré le fait qu’ils aient été utilisés 90 jours dans l’année, la TVS n’est pas due pour ces véhicules. Calcul de la taxe La TVS est due chaque trimestre pour tous les véhicules possédés ou utilisés au premier jour de chaque trimestre, ou loués pour plus de 30 jours au cours du trimestre. Mécaniquement, le taux de la taxe pour chaque trimestre est égal à ¼ du taux annuel. Le tarif de la taxe payée est déterminée par deux facteurs Le taux d’émission de CO2 ou la puissance fiscale du véhicule, selon la date de mise en circulation du véhicule il concerne les véhicules ayant fait l’objet d’une réception communautaire, dont la première mise en circulation intervient à compter du 1er juin 2004 et qui n’étaient pas possédés ou utilisés par la société avant le 1er janvier 2006. » Pour les autres, c’est la puissance fiscale qui est utilisée. Le tarif de ce facteur va de 0 € pour une voiture électrique à plus de 7 000 € pour les véhicules les plus gourmands 270 g/km. Pour la puissance fiscale, c’est de 750 € à 4 500 €. Et le carburant du véhicule plus les émissions de polluants atmosphériques sont élevés, plus la taxe le sera également. En l’occurrence, pour les véhicules à essence et assimilés cette partie de la taxe peut aller de 20 à 70 €, tandis que pour les diesels elle va de 40 à 600 € en fonction de l’année de mise en circulation. Les véhicules hybrides immatriculés après mars 2020 sont assimilés diesel à partir de 120 g/km de CO2. Note les montants indiqués ci-dessus sont annuels. Abattement pour les véhicules remboursés par les frais kilométriques Pas de panique cependant, cette taxe ne devrait pas beaucoup vous affecter en tant qu’indépendant. En effet, les véhicules possédés ou loués par les dirigeants et les salariés qui bénéficient du remboursement des frais kilométriques bénéficient des avantages suivants En fonction du nombre de kilomètres remboursés, un coefficient est appliqué au tarif normal de la taxe pour atténuer son impact sur la société ; De plus, un abattement de 15 000 € est appliqué sur le montant total de la taxe due sur l’ensemble des véhicules possédés ou loués par les salariés ou les dirigeants. Pour plus de détails concernant cette taxe, n’hésitez pas à consulter notre article Qu’est-ce que la taxe sur les véhicules de société TVS ? En résumé Une solution rentable existe pour chaque situation. En cas de faibles revenus, si vous parcourez beaucoup de kilomètres, il est conseillé d’acheter votre véhicule, peu importe son prix, et de le faire entrer à votre patrimoine professionnel. En effet, les services de location fixent une limite de kilométrage au dessus de laquelle vous paierez chaque kilomètre au prix fort. Au delà de 15 000 km par an, il est plus rentable d’acheter son propre véhicule. Si vous parcourez peu de kilomètres, plusieurs options s’offrent à vous optez pour la LLD si le véhicule qui vous intéresse a un prix élevé. Un véhicule en LOA coûte souvent plus cher qu’un véhicule à l’achat, et cette différence de prix s’accentue sur les véhicules haut de gamme. Pour un véhicule de ville à un prix plus faible, il vous est cependant plus rentable d’opter pour une LOA. Ces deux options vous permettent de payer des loyers moins chers que si vous achetiez le véhicule avec un crédit auto. En cas de forts revenus, si vous parcourez beaucoup de kilomètres, il est là aussi plus intéressant d’acheter votre propre véhicule, pour ne pas payer d’indemnités kilométriques supplémentaires. Si vous parcourez peu de kilomètres et que le véhicule a un prix élevé, il est conseillé d’acheter votre véhicule. Si vos déplacements professionnels sont rares, vous pouvez également l’intégrer à votre patrimoine personnel plutôt que professionnel. Avec un véhicule à prix plus faible, vous pouvez choisir entre l’achat, la LOA et la LLD suivant votre envie de conserver ou non votre véhicule. La LOA est fortement déconseillé pour les véhicules haut de gamme car le coût final du véhicule est largement supérieur à son prix de vente initial. Enfin, calculez bien le montant de votre TVS pour savoir s’il vaut mieux acheter votre véhicule en tant que société ou en tant que particulier. L’exemple dans notre article sur le sujet devrait vous aider à y voir plus clair. Que vous soyez au barème des indemnités kilométriques ou au frais réels, tous ces calculs comptables peuvent vous sembler compliqués. Heureusement, Indy, s’occupe de tout ! Il vous demande juste les informations sur votre véhicule, votre utilisation et calcule lui même les montants à déduire en charge. Vous avez des interrogations sur cet article ? Besoin de plus de précision ? Vous pouvez nous laisser un commentaire ci-dessous, rejoindre la communauté sur le groupe Facebook, ou bien, pour les utilisateurs d’Indy, nous contacter directement via le live-chat ! ComptabilitéProfession libérale
Conclusion: un véhicule de tourisme acheté par une entreprise doit être inscrit à l’actif et amorti dans sa comptabilité. En fonction du taux d’émission de CO2 par kilomètre du véhicule, une fraction de l’amortissement doit être réintégrée de façon
brandvoice Adoptée le 17 décembre dernier, la loi de finances 2021 encourage à poursuivre la mutation des mobilités initiée depuis 2019 par le renforcement des mesures fiscales invitant à la transition énergétique du secteur automobile. Je m'abonne Imprimer Les mesures fiscales votées visent à garantir la pérennité du secteur et à accompagner autant que possible, les acteurs publics et privés, dans leur transition vers les énergies renouvelables. Entre le renforcement ou l'introduction de nouvelles Zones à Faibles Emissions ZFE et la mise en oeuvre des quotas de véhicules à faibles émissions dans les entreprises, la nouvelle loi de finances, demeure inflexible en matière d'émissions de CO2. Le malus écologique durcit A nouveau, le malus écologique commencera plus tôt. Avec la mise en oeuvre de la norme WLTP, le malus s'appliquera désormais à partir de 133g/km de CO2 au lieu de 138g/km en 2020. Le seuil de déclenchement sera, a priori, de nouveau diminué en 2022, passant alors à 128g/km de CO2, et 123g/km de CO2 en 2023. Le malus maximum qui avait déjà été revu à la hausse en 2020 continue d'augmenter lui aussi. De euros pour les véhicules émettant plus de 212 g/km, il passe ainsi à euros à partir de 2021 pour les plus de 218 g/km, à euros en 2022 pour les plus de 223 g/km et à euros pour les plus de 225 g/km. Evolution et réduction du bonus écologiqueAfin de soutenir le secteur automobile durement impacté par la pandémie de covid-19, le durcissement du bonus écologique a été reporté au 1er juillet 2021. Jusqu'au 30 juin 2021, le montant du bonus écologique pour une voiture ou une camionnette sera de 5 000€ si le taux de CO2 est inférieur ou égal à 20g/km et si le prix du véhicule est inférieur à 45 000€. Pour un véhicule compris entre 45 000€ et 60 000€, dont le taux de CO2 est au maximum de 20g/km, incluant si nécessaire le coût d'achat ou de location de la batterie, le bonus sera de 3 000€. Pour les véhicules utilitaires électriques et si le prix est supérieur à 60 000€, le bonus écologique est fixé à 3 000€. Pour l'achat d'un véhicule hybride rechargeable d'un montant de 50 000€ maximum et dont l'autonomie est supérieure à 50 km, le bonus écologique est fixé à 2 000€. Taxe sur les véhicules des sociétés, une refonte en profondeurLa nouvelle grille TVS offre une meilleure prise en compte de l'évolution du CO2 entre les cycles NEDC corrélé et WLTP et est plus avantageuse dans de nombreux cas de figure. Ce nouveau barème débutera à 17 € pour 21 g de CO2/km et n'aura pas de plafond. Il s'appliquera à la TVS 2021, payable en janvier 2022. Seuls les véhicules présentant des émissions de CO2 comprises entre 158 et 170g/km, 180 et 190g/km, 213 et 230g/km ou à partir de 242g/km seront pénalisés par la nouvelle grille. Pour tous les autres, le montant 2021 de la taxe sera inférieur à celui de barème précédent. L'amortissement non déductible La loi de Finances 2020 a fixé de nouveaux plafonds de déductibilité fiscale pour les amortissements des véhicules particuliers en entreprise. La déduction sera ainsi plafonnée à partir du 1er janvier 2021 à 30 000€ pour un véhicule émettant un taux de CO2 inférieur à 20g/km ; 20 300€ pour un véhicule émettant un taux de CO2 compris entre 20 et 49g/km ; 18 300€ pour un véhicule émettant un taux de CO2 compris entre 50 et 165g/km voiture acquise avant 2021 ou 160g/km pour un véhicule acquis à compter de 2021 ; 9 900€ pour un véhicule émettant plus de 165g/km voiture acquise avant 2021 ou 160g/km pour un véhicule acquis à compter de 2021. Les limites de la déduction restent inchangées pour les véhicules relevant de l'ancien dispositif d'immatriculation. Enfin, si vous souhaitez faire l'acquisition d'une voiture électrique en 2021, il est tout à fait possible d'amortir la batterie d'un véhicule électrique, si elle fait l'objet d'une facturation distincte du véhicule. Pour approfondir, n'hésitez pas à consulter le guide fiscalité Athlon 2021 conçu pour vous aider à répondre à l'ensemble de vos questions, à télécharger gratuitement le livre blanc Je m'abonne
Lataxe sur les véhicules de société devrait être supprimée à compter de 2022 : elle sera exigible en 2022 pour la période d'imposition de 2021, mais en 2023, les entreprises s'acquitteront de deux taxes qui remplaceront la TVS. L'une est relative aux émissions de dioxyde de carbone (CO2), l'autre aux émissions de polluants atmosphériques
Impôt sur les bénéfices et véhicules de tourismeRésidences de tourisme sans loyers, les proprios souffrent 60 Millions de Consommateurs
Désormais ce seuil va baisser au fur et à mesure. 155 grammes en 2017. 150 grammes en 2018. 140 grammes en 2019. 135 grammes en 2020. 130 grammes en 2021. Pour conclure, cette loi touche aussi bien les véhicules
Quels sont les types de financement pour acquérir votre véhicule professionnel ? Lorsqu’une entreprise ou un travailleur indépendant souhaite se procurer un véhicule, différentes formules de financement de voiture professionnelle s’offrent à lui. Pour des besoins de courte durée, la location simple auprès des loueurs traditionnels est la solution la plus intéressante. Si le véhicule se destine à répondre à un besoin durable, les autres options satisferont mieux aux exigences de l’entreprise ou du professionnel indépendant. Achat au comptant de la voiture de société C’est l’option la plus simple pour l’entreprise intéressée par la propriété de son véhicule, puisqu’il suffit d’en régler le prix pour l’obtenir et l’utiliser librement. Avantages Libre choix/remplacement du véhicule, neuf ou d’occasion avec toutes les options souhaitées. Capacité d’emprunt préservée. Fournisseur et lieu d’entretien libres sauf si la garantie du constructeur impose de s’adresser à son propre réseau ou à des réparateurs agréés. Inconvénients Besoin de disposer d’un excédent de trésoreries important. Mobilisation des fonds propres de l’entreprise, qui ont un coût. Capacité d’investissement réduite. Faible pouvoir de négociation sur le prix d’achat, le coût du financement, les charges annexes, le prix de revente. Tâches administratives liées à l’acquisition et l’exploitation du véhicule à la charge de l’entreprise ou du professionnel achat, immatriculation le cas échéant, assurance, entretien, revente. Revente à la charge du propriétaire qui subit les aléas du marché de l’occasion. Plus ou moins-values à la revente soumises à l’impô
Parmiles avantages offerts par la LLD, la mise à disposition du véhicule d’entreprise pour un salarié, de manière permanente et pour une utilisation privée, constitue un avantage en nature non négligeable. En ce qui concerne les véhicules d’entreprise, le régime diffère entre les véhicules de tourisme et les véhicules utilitaires.
La taxe sur les véhicules de société, ou TVS, concerne toutes les entreprises qui possèdent ou utilisent un ou plusieurs véhicules particuliers en France. Le montant de cette taxe est mis à jour chaque année et dépend du taux d’émission de CO2 des véhicules concernés. Alors, les véhicules électriques ou hybrides sont-ils soumis à la TVS ? On vous explique tout ! La TVS et le véhicule électrique Différentes mesures incitatives sont prises par l’État afin de favoriser l’achat et la location de véhicules électriques et de soutenir les entreprises souhaitant s’équiper. Par conséquent, les véhicules électriques ne sont pas concernés par la TVS. La TVS et le véhicule hybride Le fonctionnement d’un véhicule hybride repose sur un moteur électrique, mais également un moteur thermique. L’exonération de TVS, qui peut être définitive ou temporaire de 12 trimestres pour ce type de véhicule, dépend de la motorisation thermique concernée ainsi que du taux d’émission de CO2. L’exonération définitive de TVS d’un véhicule hybride L’exonération définitive de taxe sur les véhicules de société concerne les véhicules hybrides ou essence émettant moins de 60 g de CO2 par km norme WLTP. L’exonération temporaire de TVS d’un véhicule hybride L’exonération temporaire de TVS pour une durée de 12 trimestres concerne les véhicules hybrides émettant entre 60 g et 100 g de CO2 par km norme WLTP. Cette exonération est valable pour les véhicules hybrides de type essence & électrique ; essence & gaz naturel GNV ; essence & GPL ; essence & Superéthanol E85 ; électrique & gaz naturel GNV ; électrique & Superéthanol E85 ; électrique & GPL. Il n’existe aucune exonération pour les véhicules hybrides de type électrique & diesel. Fiscalité des véhicules électriques et hybrides les autres avantages Amortissements non déductibles AND et véhicules électriques et hybrides Les véhicules électriques bénéficient du plafond le plus élevé des amortissements non déductibles, soit 30 000 €. Le prix de la batterie peut être déduit du prix d’achat du véhicule sous réserve qu’elle figure bien sur la facture d’achat. En ce qui concerne les véhicules hybrides, ils bénéficient de plafonds d’amortissements plus élevés que les véhicules thermiques, ces plafonds étant fixés en fonction du prix d’achat TTC du véhicule et de son taux d’émission de CO2. Amortissement et loyers des véhicules de tourisme – Véhicules immatriculés après le 01/03/2020 Avantages en nature AEN et véhicules électriques Les salariés bénéficiant d’un véhicule électrique entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020 profitent d’un abattement de 50 % dans le calcul de leurs avantages en nature, dans la limite de 1 800 € / an. Les frais d’électricité ne sont plus à déclarer en AEN. TVA et véhicules électriques ou hybrides La taxe sur la valeur ajoutée, ou TVA, est entièrement déductible sur les recharges de véhicules électriques et hybrides rechargeables. Taxe proportionnelle sur les certificats d’immatriculation ENR et véhicules électriques ou hybrides Les véhicules fonctionnant exclusivement à l’électricité, à l’hydrogène ou hybrides électrique & hydrogène bénéficient d’une exonération totale ou partielle à hauteur de 50 % de la taxe proportionnelle sur les certificats d’immatriculation. Ce sont les régions qui déterminent le taux d’exonération. Ainsi, la fiscalité des véhicules électriques et hybrides est bien plus à votre avantage que celle des véhicules thermiques. Dans une démarche anti-pollution globale, l’État et les régions mettent également en place différentes aides pour que vous puissiez acheter ou louer un véhicule hybride ou électrique ! Vous souhaitez en savoir plus ? Nos équipes expertes sont à votre disposition !
Sansajustement, le locataire devrait donc réintégrer une fraction de loyer d’un montant moindre que la fraction d’amortissement qui aurait été non déductible s’il avait acquis et non loué le véhicule (2 340 €). C’est pour cette raison qu’il convient d’appliquer au montant obtenu la TVA au même taux que celui appliqué au prix d’acquisition (20 %).
Accueil » Métiers comptables » Les immobilisations et amortissements » L’amortissement d’un véhicule de tourisme L’amortissement d’un véhicule de tourisme Publié dans la catégorie Les immobilisations et amortissements Toutes les entreprises peuvent acheter des voitures particulières pour les besoins de leur exploitation. Ces biens acquis, comme toute immobilisation, doivent être amortis en comptabilité. Or pour certaines catégories de véhicules appelés véhicules de tourisme, l’administration fiscale a instauré des seuils de déduction au-delà desquels une fraction de l’amortissement comptable doit être réintégrée en comptabilité. Compta-Facile vous propose une fiche répondant aux questions comment amortir un véhicule de tourisme acheté ? Quelles sont les conditions de la réintégration fiscales des amortissements excédentaires d’un véhicule de tourisme ? Les principes généraux de l’amortissement d’un véhicule de tourisme Un véhicule de tourisme doit être évalué à son coût d’entrée, comprenant notamment Le prix d’achat toutes taxes comprises TTC, Les équipements et accessoires à disposition dans le véhicule, Les frais de peinture et de lettrage publicitaire, Les frais de transport si le véhicule a été livré à un endroit précis. Les frais de carte grise et de malus écologique doivent normalement figurer en charges mais ils peuvent, sur option, être incorporés au coût d’acquisition du véhicule. Attention toutefois, ce traitement peut donner lieu à des retraitements fiscaux. Aussi, une fois le coût d’entrée évalué, le véhicule, étant une immobilisation corporelle, doit faire l’objet d’un amortissement sur sa durée réelle d’utilisation. Bien que toute la dotation aux amortissements soit enregistrée en comptabilité, une quote-part de cette dernière doit, dans certains cas, être réintégrée de manière extra-comptable afin de supporter l’impôt impôt sur le revenu ou impôt sur les sociétés. Voici l’écriture de comptabilisation de l’amortissement d’un véhicule de tourisme On débite le compte 68112 Dotations aux amortissements et aux provisions sur immobilisations corporelles », Et on crédite le compte 28182 Amortissements du matériel de transport ». Les limites fiscales de l’amortissement des véhicules de tourisme Professionnels concernés Sont concernés par ce dispositif Les entreprises relevant de l’impôt sur le revenu IR dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux BIC, Les entreprises relevant de l’impôt sur les sociétés IS, Les entreprises relevant des bénéfices non commerciaux BNC, Et les entreprises relevant des bénéfices agricoles BA. Toutefois, il ne s’applique pas aux entreprises dont la disposition du véhicule est nécessaire à l’exercice de l’activité telle qu’elle est définie dans l’objet social. En sont donc dispensées les entreprises de transport de personnes exploitants de taxis, ambulanciers…, les autos-écoles ainsi que les entreprises de location de véhicules sous certaines conditions. Véhicules concernés Les véhicules concernés par cette limitation sont l’ensemble des véhicules immatriculés dans la catégorie des voitures particulières VP » sur la carte grise, y compris les véhicules de type N1 » destinés au transport de voyageurs et de leurs bagages, ainsi que les voitures commerciales , canadiennes » et breaks » ; qu’ils soient achetés neufs ou d’occasion. Seuils applicables Pour les véhicules de tourisme mis pour la première fois en circulation à compter du 2 juin 2004 et achetés en 2017 et , une quote-part d’amortissement est exclue des charges déductibles pour la fraction du prix qui dépasse un montant défini en fonction du taux d’émission de CO2 du véhicule Taux d’émission de CO2 Base amortissable maximum 155 g/km 9 900 € Mise à jour des seuils la limite de 155 g/km est progressivement abaissée à 150 g/km en 2018, 140 g/km en 2019, 135 g/km en 2020 et 130 g/km en 2021. Auparavant, seules les limites de 9 900 euros et 18 300 euros existaient le taux de CO2 fixé était alors de 200 g/km. Modalités pratiques de la réintégration fiscale des amortissements excédentaires Les amortissements excédentaires pratiqués sur le véhicule de tourisme doivent être réintégrés Sur la ligne WE de l’imprimé n° 2058-A pour les entreprises soumises à l’IS ou à l’IR dans la catégorie des BIC ; Sur la ligne 36 de l’imprimé n° 2035-B pour les entreprises soumises à l’IR dans la catégorie des BNC. Enfin, il doit être souligné que les amortissements réintégrés sont tout de même pris en compte pour le calcul de la plus ou moins-value résultant de la sortie ultérieure du véhicule de l’actif de l’entreprise vente par exemple. A lire également sur le thème des immobilisations et amortissements Comment comptabiliser la location d’un véhicule de tourisme ? Comment enregistrer les frais de carte grise ? Quelle durée choisir pour amortir ses immobilisations ? Comment comptabiliser les frais d’acquisition d’immobilisations ? Conclusion un véhicule de tourisme acheté par une entreprise doit être inscrit à l’actif et amorti dans sa comptabilité. En fonction du taux d’émission de CO2 par kilomètre du véhicule, une fraction de l’amortissement doit être réintégrée de façon extra-comptable. Elle supportera ainsi l’impôt. A propos de Thibaut Clermont Thibaut CLERMONT, mémorialiste en expertise-comptable et fondateur de Compta-Facile, site d'information sur la comptabilité.
Debureaux de tourisme ou un bureau du chargement ou non, ou investir le point de la vie du prêt prise en vertu de la notion d’emplacement pour vous demandent de l’assurance des enfants lui est Assurance famille responsable des primes. Et services d’assurance emprunteur telles que vous déplacez dans ce soit quelques conseils et habitable à un conducteur pour le cadre de votre
Le véhicule de fonction se trouve durement pénalisé par une taxation qui a explosé le 1er janvier 2006. Cette flambée a été d'inspiration écologique. La taxe sur les véhicules de société TVS dépend depuis cette date du taux d'émission de CO2. Avant, elle était plafonnée à 2 440 euros par an. Désormais, elle peut excéder 10 000 euros. Tous les véhicules pouvaient faire l'objet d'un amortissement fiscalement déductible plafonné à 18 300 euros. L'amortissement déductible des véhicules écologiquement incorrects plafonne maintenant à 9 900 euros. Ces paramètres écologiques constituent de très puissants accélérateurs à la taxation. Selon le profil du véhicule, sur quatre années d'exploitation, la somme des taxes fiscales et sociales représente entre 49 % et 100 % du prix d'achat du véhicule !En réaction à ces impôts confiscatoires, les dirigeants propriétaires de PME ont privilégié l'achat d'un véhicule personnel et la facturation à leur entreprise d'indemnités kilométriques en remboursement de leurs trajets professionnels. Le paradoxe est saisissant plus vous utilisez votre véhicule à titre professionnel, plus il est intéressant d'opter pour le véhicule personnel et les indemnités kilométriques. Les premiers modèles hybrides modifient la donne, grâce à leurs allégements de taxes, et la disparition de la taxe professionnelle pourrait encore accentuer la tendance. Pour bien mesurer ces opportunités nouvelles, rappelons la taxation des véhicules de société, définissons les seuils à partir desquels le véhicule de fonction devient une option économiquement perdante et mesurons ce que le véhicule hybride modifie, dans l'arbitrage entre véhicule de fonction et indemnités kilométriques. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement 1 - Ce que coûte à l'entreprise un véhicule de fonction Les coûts directs En premier lieu, l'entreprise finance l'achat ou la location, la carte grise et les coûts d'exploitation assurance, carburant et entretien.Les taxes fiscales et socialesL'entreprise subit ensuite des prélèvements spécifiques la taxe sur les véhicules de société TVS ; le surcoût d'impôt société généré par les charges non déductibles ; la taxe professionnelle ; les charges sociales patronales sur l'avantage en nature imputé à l'utilisateur. > La TVS se calcule en fonction du taux d'émission de CO2, en grammes par kilomètre. Pour un véhicule émettant moins de 100 grammes, la taxe est égale au nombre de grammes multiplié par 2 euros. Le tarif augmente ensuite pour culminer à 19 euros le gramme pour un véhicule émettant plus de 250 g/km. > L'impôt société procède de deux types de charges non déductibles la TVS et une quote-part de l'amortissement ou du loyer. Dans son intégralité, la TVS est non déductible. Ainsi, une taxe de 4 500 euros provoque un coût annuel de 6 000 euros pour l'entreprise 4 500 + 1/3 d'impôt société.La déduction de l'amortissement du véhicule dont le taux d'émission de CO2 excède 200 g/km est spécifique la fraction déductible du prix d'acquisition est ramenée à 9 900 euros. Sinon, l'amortissement reste déductible pour la fraction du prix d'acquisition n'excédant pas 18 300 euros. > La taxe professionnelle TP est calculée sur la valeur locative du véhicule. Elle est basée sur la valeur à neuf, toutes taxes comprises. Un véhicule vieux de trois ans, ayant parcouru 100 000 km subit une TP calculée sur sa valeur au premier jour d'exploitation. > L'utilisation privative du véhicule de société est un avantage en nature qui déclenche pour l'entreprise des charges sociales patronales et pour le salarié des charges sociales salariales et de l'impôt sur le revenu. L'évaluation de l'avantage en nature peut emprunter deux modes, le réel ou le forfait. Le réel comprend, au prorata du kilométrage privé, l'amortissement du prix d'achat TTC sur cinq ans ou le coût de location, l'assurance, les frais d'entretien, voire le carburant. Cette solution se confronte à la difficulté de la preuve comment justifier du kilométrage privé ? L'entreprise peut sécuriser son dispositif en utilisant l'évaluation au forfait. Lorsque le véhicule a moins de cinq ans et que l'employeur prend en charge le carburant, le forfait est égal à 12 % du prix d'achat TTC, ou à 40 % du coût global annuel de la location, de l'assurance et de l'entretien. Trois exemplespour illustrer ce que coûte à l'entreprise un véhicule de fonction, nous avons simulé les coûts de trois catégories de voitures citadine, routière et prestige lire le tableau ci-dessous. Type de véhiculeVoiture citadineVoiture routièreVoiture prestigeCaractéristiquesModèlePetite essence de 4 CV fiscaux, émettant 106 g de CO2 par kmVoiture diesel de 11 CV fiscaux émettant 153 g de CO2 par kmVoiture essence de 19 CV fiscaux émettant 256 g de CO2 par kmPrix achat12 000 euros TTC40 000 euros TTC 75 000 euros TTCCoût entretien600 euros / an1300 euros /an1700 euros /anAssurance400 euros /an1000 euros / an2500 euros/ anUtilisation20 000 km / an privé et pro30 000 km/ an privé et pro30 000 km/ an privé et proCoûts du véhicule pour l'entrepriseCoûts directs de financement et d'exploitation4 574 euros/ an12 573 euros/ an23 886 euros/ anTaxes fiscales et sociales1 483 euros /an7 459 euros /an18 697 euros/anConclusion sur 4 années d'exploitationLes taxes représentent 50 % du prix d'achat TTCLes taxes représentent 75 % du prix d'achat TTCLes taxes représentent 100 % du prix d'achat TTCCalcul du coût pour l'entreprise de trois types de véhicules de fonction 2 - Quand faut-il opter pour un véhicule de fonction ? Maintenant que nous avons bien en tête les différents paramètres qui composent le coût global, pour l'entreprise, d'un véhicule de fonction, nous allons mesurer les seuils à partir desquels l'option fiscale "véhicule de fonction" devient financièrement moins intéressante que l'option "véhicule personnel assorti d'indemnités kilométriques". Principe de raisonnement Le dirigeant propriétaire de PME raisonne en fonction du coût entreprise ; autrement dit, de ce que coûtera à sa société, tout compris, le système de rémunération qu'il aura adopté. Pour évaluer deux systèmes, il faut donc comparer, à coût entreprise identique, le revenu disponible dont profitera le dirigeant. Nous verrons que, à véhicule identique, ce qui influence la comparaison entre l'option véhicule de fonction et l'option véhicule personnel et indemnités kilométriques, c'est la ventilation entre kilomètres personnels et professionnels. Méthode Nous devons d'abord calculer notre référentiel d'analyse, constitué par l'option véhicule de fonction. Il s'agit de chiffrer le coût supporté par l'entreprise, en additionnant le salaire brut, les charges sociales patronales - avantage en nature inclus - et le coût global du véhicule, soit les coûts directs majorés des taxes fiscales et sociales. Le même coût entreprise sert ensuite à simuler l'option véhicule personnel et indemnités kilométriques. L'entreprise supporte le salaire brut, les charges sociales patronales et le remboursement des indemnités kilométriques. Le revenu disponible pour le dirigeant est égal au salaire brut, diminué des charges sociales salariales, de l'impôt sur le revenu et du coût du véhicule, majoré des indemnités kilométriques perçues. Nous allons comparer l'option véhicule personnel et indemnités kilométriques, avec l'option véhicule de fonction, selon deux hypothèses extrêmes kilométrage 100 % professionnel et kilométrage 100 % personnel. Nous allons ensuite calculer le kilométrage d'équivalence. Il s'agit de la répartition entre kilomètres personnels et professionnels, qui rend strictement équivalentes les options véhicule de fonction et véhicule personnel. Application à trois cas pratiques Nous allons appliquer cette méthode à trois cas pratiques voir ci-après. Dans chacun, les hypothèses de base sont les suivantes. L'utilisateur est un chef d'entreprise marié, avec deux enfants à charge, percevant un salaire annuel brut de 150 000 euros. Il bénéficie d'un véhicule de fonction d'un prix TTC de 75 000 euros, avec lequel il parcourt 30 000 kilomètres par an. Le coût d'entretien du véhicule est de 1 700 euros par an. L'assurance coûte 2 500 euros par an. L'avantage en nature imputé sur la feuille de paie du dirigeant est évalué forfaitairement. La société paie le carburant. La voiture est financée par un crédit sur quatre ans, au taux de 5 %, et amortie sur la même durée. En outre, dans les cas 1 et 2, au terme des quatre ans, le véhicule est revendu 30 % de son prix d'achat une autre hypothèse est faite dans le cas 3. Cas 1 - Le dirigeant roule avec un véhicule conventionnel Nous prenons l'exemple d'une voiture essence de la gamme prestige de 19 chevaux fiscaux, émettant 256 grammes de CO2 par kilomètre. Si nous calculons le coût global annuel "véhicule + salaire" pour l'entreprise, et le revenu net disponible perçu par le dirigeant, selon l'option choisie par ce dernier, voici ce que nous obtenons. > Option véhicule de fonction L'entreprise supporte un coût global annuel de 259 000 euros. Le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, de 96 000 euros, auxquels s'ajoute la jouissance du véhicule. > Option véhicule personnel avec kilométrage 100 % personnelL'entreprise supporte toujours le même coût de 259 000 euros et le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, et après avoir supporté le coût de son véhicule, de 94 000 euros. > Option véhicule personnel avec kilométrage 100 % professionnel L'entreprise supporte le même coût de 259 000 euros et le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, et après avoir supporté le coût de son véhicule, de 102 000 euros. > Arbitrage véhicule de fonction/véhicule personnelPour que les options véhicule de fonction et véhicule personnel se révèlent strictement équivalentes, il faut que 82 % des kilomètres annuels soient personnels. Cas 2 - Le dirigeant roule avec un véhicule écologique Nous prenons l'exemple d'un véhicule hybride haut de gamme, produisant 148 grammes de CO2 par kilomètre pour 13 chevaux fiscaux. Ce véhicule écologique profite de trois avantages principaux. Il émet moins de CO2, donc la taxe sur les véhicules de société est moins chère. Il est exonéré de cette taxe les deux premières années. Enfin, le véhicule peut être amorti plus nous calculons le coût global annuel "véhicule + salaire" pour l'entreprise, ainsi que le revenu net disponible perçu par le dirigeant, selon l'option choisie par ce dernier, voici ce que nous obtenons. > Option véhicule de fonction L'entreprise supporte un coût global annuel de 251 000 euros. Le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, de 96 000 euros, auxquels s'ajoute la jouissance du coût entreprise est maintenu dans les autres options > Option véhicule personnel avec kilométrage 100 % personnel Le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, et après avoir supporté le coût de son véhicule, de 92 000 euros. > Option véhicule personnel avec kilométrage 100 % professionnel Le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, et après avoir supporté le coût de son véhicule, de 101 000 euros.> Arbitrage véhicule de fonction/véhicule personnel Pour que les options véhicule de fonction et véhicule personnel se révèlent strictement équivalentes, il faut que 64 % des kilomètres annuels soient personnels. Cas 3 - Le dirigeant roule avec un véhicule optimisé, en présumant la suppression de la taxe professionnelle Nous considérons ici que la taxe professionnelle disparaîtra au 1er janvier 2010. En outre, nous simulons la mise à disposition du dirigeant d'un véhicule hybride, sur quatre ans, mais en renouvelant le véhicule tous les deux ans, afin de profiter à plein de l'exonération de taxe sur les véhicules de société durant deux ans. Le véhicule écologique choisi est le même que dans le cas 2 hybride haut de gamme, produisant 148 grammes de CO2 par kilomètre pour 13 chevaux fiscaux. Si nous calculons le coût global annuel "véhicule + salaire" pour l'entreprise, et le revenu net disponible perçu par le dirigeant, selon l'option choisie par ce dernier, voici ce que nous obtenons. > Option véhicule de fonction L'entreprise supporte un coût global annuel de 248 000 euros. Le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, de 96 000 euros, auxquels s'ajoute la jouissance du coût entreprise est maintenu dans les autres options > Option véhicule personnel avec kilométrage 100 % personnel Le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, et après avoir supporté le coût de son véhicule, de 91 000 euros. > Option véhicule personnel avec kilométrage 100 % professionnel Le dirigeant appréhende un revenu disponible, net de tous prélèvements, et après avoir supporté le coût de son véhicule, de 99 000 euros. > Arbitrage véhicule de fonction/véhicule personnel Pour que les options véhicule de fonction et véhicule personnel se révèlent strictement équivalentes, il faut que 42 % des kilomètres annuels soient personnels. Ne vous trompez pas ! Pour un prix de véhicule identique, le bilan financier dépend principalement de deux paramètres le pourcentage d'utilisation personnelle du véhicule et ses critères écologiques. Les enjeux peuvent être significatifs. Dans notre exemple du véhicule prestige, la mauvaise solution peut priver le dirigeant de plus de 20 000 euros de revenu disponible sur quatre ans. Rappelons que 20 000 euros de revenu net de tous prélèvements coûtent environ 50 000 euros à l'entreprise, soit les deux tiers du prix d'achat du véhicule. Hypothèse de calcul dans les trois cas, l'utilisateur est un dirigeant salarié, marié, avec deux enfants à charge. L'avantage en nature imputé sur sa feuille de paie est évalué forfaitairement. La société paie le carburant. La voiture est financée par un crédit sur quatre ans, au taux de 5 %, et amortie sur la même durée. Au terme des quatre ans, le véhicule est revendu 30 % de son prix d'achat. À retenir Pour un prix de véhicule identique, le choix que doit opérer un dirigeant propriétaire de PME salarié de son entreprise entre l'option fiscale "véhicule de fonction" et l'option fiscale "véhicule personnel assorti d'indemnités kilométriques" dépend principalement de deux paramètres le pourcentage d'utilisation personnelle du véhicule et ses critères écologiques. A lire aussi Calculez vos frais kilométriques et vos indemnités de carburant Frais kilométriques le barême fiscal 2009 Auto et malus écologique êtes-vous prêt pour l'éco-pastille 2010 ? Recalculez vos frais de voiture Voiture de fonction quel avantage pour le salarié et pour l'entreprise ? Comment assurer les voitures d'une petite entreprise À retenir Pour un prix de véhicule identique, le choix que doit opérer un dirigeant propriétaire de PME salarié de son entreprise entre l'option fiscale "véhicule de fonction" et l'option fiscale "véhicule personnel assorti d'indemnités kilométriques" dépend principalement de deux paramètres le pourcentage d'utilisation personnelle du véhicule et ses critères écologiques. A lire aussi Calculez vos frais kilométriques et vos indemnités de carburant Frais kilométriques le barême fiscal 2009 Auto et malus écologique êtes-vous prêt pour l'éco-pastille 2010 ? Recalculez vos frais de voiture Voiture de fonction quel avantage pour le salarié et pour l'entreprise ? 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Bonus Gratuit Guide complet – La fiscalité magique de la location meublée – astuces d’un Master InvestisseurComment se fait le calcul des frais kilométriques en LMNP? Pouvez-vous obtenir une déduction fiscale des frais kilométriques de vos loyers en location meublée ? Vos déplacements pour faire les états des lieux d’entrée et de sortie avec vos locataires sont-ils pris en compte dans vos frais et votre comptabilité ? Qu’es-ce que le barème essence qui s’applique pour la location meublée ? Le calcul des frais kilométriques est-il le même en LMNP et en LMP ? C’est hallucinant ce que l’on peut lire sur le web tout et son contraire! Certains vous disent que vous pouvez déduire vos frais kilométriques, d’autres que c’est interdit Il est vraiment difficile de connaître la réalité du calculs des frais kilométriques en LMNP Nous vous donnons la réponses et toutes les clefs pour comprendre dans cet article d’eldorado immobilier 1/ Vous pouvez déduire fiscalement vos frais kilométriques 2/ Vous devez calculer vos frais kilométriques à l’aide d’un barème spécial, appelé barème essence En effet, vos déplacements font partie de votre activité de propriétaire en location meublée courte durée. À ce titre, vous pouvez tout à fait les intégrer dans votre comptabilité lorsque vous déclarez vos revenus au réel que ce soit en LMNP ou en LMP. Toutefois, certaines précautions comptables sont apprendre, il ne faut surtout pas vous prendre pour le roi du pétrole 🙂 Nous vous expliquons tout cela dans le détail dans cet article, et en particulier comment calculer vos frais kilométriques en LMNP,sur quelles bases réglementaires le faire quel barème, quel mode de calculles justificatifs nécessairesen cadeau bonus un exemple gratuit de feuille de calcul a télécharger Comment déduire fiscalement les indemnités kilométriques pour une location meublée? Sommaire - Accès rapideQuels frais de déplacement sont pris en compte ?Quelle jurisprudence ?Le barème carburant s’applique pour le calcul des frais kilométriques en LMNPQuelle différence entre barème essence et indemnités kilométriques ?Quels justificatifs pour calculer les indemnités kilométriques de ma location ?Téléchargez le modèle de calcul des frais kilométriques de votre location meublée Quels frais de déplacement sont pris en compte ? Lorsque vous êtes propriétaire d’une location meublée, et plus particulièrement d’une location meublée en courte durée, vous avez des frais de déplacement assez variés pour aller acheter les fourniturespour aller faire le ménage dans la locationpour accueillir les locatairespour faire l’état des lieux de sortie de vos invités Il est possible de déduire les indemnités kilométriques correspondantes pour compenser les frais que vous engendrez pour ces déplacements. La jurisprudence est claire à ce sujet Quelle jurisprudence ? La jurisprudence au niveau des frais kilométriques pour le LMNP est peu abondante, mais claire Une réponse ministérielle sur la déduction fiscale pour les idépendants Le texte principal sur lequel s’appuie la jurisprudence pour le calcul des frais kilométriques location meublés est issue une question n°7824 posée à l’Assemblée nationale datant de 2013 référence AN-14-7824 Cette question concerne la déduction fiscale des frais de déplacement des personnes déclarant des revenus en BIC mais n’étant pas considérés comme professionnels, ce qui est le cas pour les propriétaires déclarés en LMNP Elle indique que les frais réels kilométriques peuvent être pris en compte, mais elle exclut les propriétaires LMNP des indemnités kilométriques tel que nous pouvons les entendre pour une entreprise classique Le Bulletin Officiel des Finances Publiques restreint les frais kilométriques au carburant Par ailleurs, le Bofip indique clairement les frais relatifs aux carburants … il s’agit des dépenses d’essence, de gazole, de GPL utilisés comme carburants à l’exclusion des frais relatifs à l’entretien, la réparation, l’assurance ou l’amortissement du véhicule La référence est ici Cf ces articles sur eldorado immobilier pour en savoir plus Tout savoir sur la fiscalité de la location meublée c’est magique Optimisez la fiscalité LMNP les astuces simples que les autres vous cachent.. Maintenant que vous savez que vous pouvez déduire vos frais kilométriques, comment les calculer ? En effet, le calcul des indemnités kilométriques pour une location meublée obéit un barème qui ne vous est probablement pas familier… et ce n’est pas pas forcément le plus avantageux Le barème carburant s’applique pour le calcul des frais kilométriques en LMNP C’est donc le barème carburant que vous devez prendre en compte. Vous pourrez trouver la référence réglementaire ici Le barème carburant est actualisé chaque année. Il est nettement moins intéressant qu’une indemnité classiques pour frais kilométriques, c’est logique, puisqu’il n’a que carburant… Le barème carburant pour cette année est disponible via ce lien C’est le barème des frais kilométriques essence que vous devez prendre en compte pour le calcul de vos frais kilométriques en LMNP et en LMP Quelle différence entre barème essence et indemnités kilométriques ? Prenons un exemple Le barème carburant pour un véhicule 5 chevaux au gazole est de € par kilomètre Soit pour 100 km, vous pouvez déduire 8,4€ Pour le même véhicule, le barème es indemnités kilométriques est quant à lui de 0,543€ par kilomètre Soit pour 100 km 54,3€ Vous voyez, les deux barèmes ne jouent pas dans la même cour 🙂 Mais c’est toujours ça de pris! Quels justificatifs pour calculer les indemnités kilométriques de ma location ? Pour calculer vos indemnités kilométriques, vous devez connaître le nombre de déplacements que vous avez réalisés tout au long de l’année pour chacune de vos locations en courte durée ou en longue duréele nombre de kilomètres pour chacun de vos déplacements à partir de ces éléments, faites un tableau récapitulatif sous Excel. Je vous conseille de le structurer ainsi Sur les lignes, vous indiquez le nombre de kilomètres réalisés, le nombre de déplacements, et le totaldans les colonnes, vous créez une ligne spécifique pour chacun de vos appartements Il vous faudra également fournir une copie de votre carte grise, comme justificatif complémentaire Téléchargez le modèle de calcul des frais kilométriques de votre location meublée Nous avons préparé pour vous un tableau Excel pré rempli et gratuit à télécharger Il contient les formules de calcul de frais kilométriques qui vont pouvez le télécharger gratuitement sur le site eldorado immobilier. Pour cela, il vous suffit tout simplement d’indiquer dans le formulaire ci-dessous l’adresse e-mail à laquelle je dois vous envoyer immédiatement votre feuille de calcul gratuite en un clic c’est fait 🙂 Indiquez moi sur quel mail je dois envoyer la feuille de calcul gratuite? J’espère que vous appréciez la lecture de cet article. Vous ne savez pas trop combien votre investissement immobilier va vous rapporter en courte durée ? Vous voulez savoir comment vous situer par rapport à la concurrence ? Savez vous que 87% des millionnaires de l’immobilier louer en courte durée ont commencé par convaincre leur banquier grâce à une étude de marché ? J’ai développé un outil qui utilise le Big Data pour réaliser pour vous une étude de marché parfaite. Vous saurez exactement combien vous allez gagner, si l’investissement est rentable et comment vous démarquer de la concurrence En résumé, vous pouvez calculer vos frais kilométriques pour les déduire mais avec le barème essence ! Et vous, avez-vous l’habitude de prendre en compte vos frais kilométriques votre déclaration de revenus ? Votre expert comptable vous est-il déjà indiqué que vous pouviez déduire vos frais kilométriques de vos loyers ? Faites nous part de vos remarques et de vos expériences dans les commentaires ci-dessous Bonus Gratuit Guide complet – La fiscalité magique de la location meublée – astuces d’un Master Investisseur Pierre Pierre est ingénieur agronome spécialisé dans l'aménagement du territoire INA ENSA A, et urbaniste. Investisseur immobilier dans la location meublée courte et longue durée, il est passionné pour aider les propriétaires au quotidien. Il est l'auteur du Best Seller "Airbnb Master les 200 secrets des nouveaux millionnaires de la location courte durée" et collabore avec de nombreux médias Capital de M6, Le Monde, Le Parisien, Le Petit Futé... Surtout, Pierre est à votre disposition pour échanger sur vos difficultés, laissez un commentaire !
Jedéclare mes charges déductibles du revenu global. L'impôt sur le revenu est calculé sur le montant total du revenu net annuel. Certaines charges sont déductibles du revenu global du foyer fiscal si votre domicile est situé en France ou si, bien que non-résident, vous tirez de la France l'essentiel de votre revenu imposable.
Simualtion Calculez rapidement la TVS. Nouveautées 2020 Notice des impôts Pour les véhicules relevant du nouveau dispositif d’immatriculation WLTP, c’est-à -dire relevant des catégories M1, M2, N1 et N2 pour lesquels la première immatriculation en France est délivrée à compter du 1er mars 2020, un nouveau barème est défini à la ligne I 2 du paragraphe IV intitulé Comment remplir sa déclaration n° 2855 » de la notice. Définition Toutes les sociétés, quelle que soit leur forme juridique et leur régime fiscal, qui possédent ou utilisent des voitures particulières sont redevables de la TVS. Il existe cependant des exceptions pour les sociétés ayant des activités de transport de personnes, auto-école, etc... La période d'imposition de la TVS est celle de l'année civile. Depuis 2018, la période d'imposition s'étend du 1er janvier au 31 décembre, et non plus du 1er octobre au 30 septembre de l'année suivante. Le nombre de véhicules est déterminé, au premier jour de chaque trimestre civil, dans la période d'imposition. La TVS est due si les voitures particuliéres sont immatriculées au nom de la société ; louées au nom de la société ; immatriculées ou louées au nom des dirigeants ou des salariés lorsqu'ils les utilisent pour effectuer des déplacements professionnels. Dans cette situation, le montant de la taxe est modulé en fonction du nombre de kilométres remboursés par la société. Un abattement de 15 000 € est appliqué sur le montant total de la taxe due au titre des véhicules possédés ou loués par les salariés ou dirigeants.
Enprincipe, l’amortissement d’un véhicule est linéaire, c’est-à -dire que les mêmes montants sont amortis chaque année sur la durée de son utilisation. La dépréciation se fait donc de manière constante. Ainsi, si la durée retenue est de 5 ans, un taux de 20 % est appliqué chaque année en déduction du coût d’achat du
En tant que chef d’entreprise ou manager, vous pouvez faire le choix d’un véhicule de fonction pour vous-même ou vos collaborateurs. La mise à disposition d’un véhicule de fonction constitue un avantage non négligeable qui vient compléter la rémunération du dirigeant ou des salariés. C’est une pratique très courante, notamment dans les métiers qui nécessitent de nombreux déplacements professionnels. Mais la législation est complexe et de nombreuses questions se posent Véhicule de fonction ou véhicule de société ?Quel est le coût réel pour l’entreprise ?Quelle fiscalité ?Achat ou location ?Avantage en nature opter pour les frais réels ou les frais forfaitaires ? Ce guide a pour but de faire le point, pour que vous puissiez enfin y voir clair. Vous n’avez pas le temps de lire cet article aujourd’hui ? Vous pouvez aussi le télécharger au format PDF pour le lire tranquillement quand vous aurez le temps ! Sommaire Véhicule de fonction définitionVéhicule de fonction ou véhicule de service ?Véhicule de fonction quel coût pour l’entreprise ?Véhicule de fonction et avantages en nature frais réels ou frais forfaitaires ? Véhicule de fonction définition Une voiture de fonction est un véhicule qui est détenu par une société, un État ou une collectivité locale, et qui est mis à disposition d’un collaborateur ou d’un dirigeant avec l’autorisation de l’utiliser pendant et en dehors de ses heures de travail. Ce véhicule est donc utilisé dans le cadre de déplacements professionnels et personnels. L’utilisation à titre privé d’une voiture de fonction mis à disposition par l’employeur constitue un avantage en nature pour le salarié ou le dirigeant qui doit être présent dans sa rémunération, ce qui entraîne le prélèvement de charges sociales du côté du salarié, patronales du côté de la société et doit in fine être soumis à l’imposition sur le revenu du salarié. Cet avantage doit être inscrit dans le contrat de travail. Véhicule de fonction et véhicule de service quelle différence ? Attention à ne pas confondre véhicule de fonction et véhicule de service qu’on appelle aussi véhicule de société ! Pour vous simplifier la vie, nous avons résumé la différence entre les deux dans le tableau ci-dessous. Véhicule de fonctionVéhicule de service ou véhicule de sociétéTrajets personnels autorisés en dehors des horaires de travail ?ouinon hors trajets domicile-travail les jours ouvrés, en l’absence de transports en communs.Véhicule à usage individuel ?oui véhicule personnel, réservé à l’usage d’un véhicule partagé, utilisable par tous les salariés de l’ en nature pour le salarié ? soumis aux cotisations sociales et à l’impôt sur le revenuouinon Véhicule de fonction quel coût pour l’entreprise ? Si les salariés de l’entreprise effectuent de nombreux déplacements professionnels pour se rendre chez leurs clients ou sur des chantiers commerciaux, techniciens, artisans…, leur octroyer un véhicule de fonction peut être une option à considérer. Cela peut être un facteur d’attractivité de votre entreprise, et de fidélisation des collaborateurs. C’est aussi un moyen de s’assurer que les salariés nomades se déplacent dans de bonnes conditions en termes de confort et de sécurité. Mais combien ça coûte pour l’entreprise ? Pour le savoir, il faut lister les coûts directs et indirects associés à l’achat ou la location d’un véhicule pour l’entreprise. Coût d’achat ou de locationLimites de déductibilité des amortissements et loyersImpôts et taxesCoûts annexes entretien, assurance, carburant… Achat ou location des véhicules de fonction Vous pouvez décider d’investir dans l’achat de véhicules de fonction pour vos salariés ou pour le dirigeant. Votre entreprise va donc supporter le coût d’achat des véhicules, ce qui représente un coût non négligeable. Vous pouvez aussi faire le choix de la location longue durée LLD cela allège les travaux de suivi et de maintenance du parc, cela pèse moins sur votre trésorerie, et cela permet à vos salariés de bénéficier de véhicules récents. Dans les deux cas, vous allez pouvoir déduire de votre bénéfice et donc de vos impôts les charges qui pèsent sur votre entreprise amortissement en cas d’achat, loyer en cas de location ; mais attention ! Dans une certaine limite. On vous explique tout ça juste après. Amortissement non déductible des véhicules de fonction Cas n°1 Achat d’un véhicule de fonction et amortissement Si vous faites l’acquisition d’un véhicule de fonction, vous allez pouvoir déduire ce coût de votre résultat fiscal via le mécanisme de l’amortissement. Pour rappel, l’amortissement est la constatation comptable de la perte de valeur du véhicule par année du fait de son usage usure physique, de l’évolution technique obsolescence ou tout simplement du temps. Le calcul de l’amortissement annuel est le suivant prix d’achat du véhicule / par le nombre d’années d’ nombre d’années durée de l’immobilisation correspond à la durée réelle d’utilisation du bien par l’entreprise. Cette estimation pouvant être difficile, vous pourrez utiliser les durées d’usage admises en fiscalité, soit pour un véhicule 4 ou 5 ans selon son utilisation. Pour résumer, l’amortissement d’un bien permet à une entreprise d’économiser de l’impôt pour compenser des investissements en matériel. Mais dans le cas des véhicules de tourisme, il existe certaines limitations, qui visent deux objectifs Inciter les entreprises à opter pour des véhicules plus respectueux de l’environnement,Limiter les avantages fiscaux pour les entreprises qui opteraient pour des véhicules très coûteux. Ainsi, l’amortissement de l’achat d’un véhicule de tourisme est déductible du résultat comptable, mais cette déduction fiscale est plafonnée à un certain montant, qui dépend du taux d’émission de CO2 du véhicule. Le détail du barème est présenté dans le tableau suivant. Barème 2021 plafond de déductibilité de l’amortissement des véhicules d’entreprise Taux d’émission de CO2 en g/kmAncien dispositif d’immatriculationNouveau dispositif d’immatriculation*T 1659 900 €9 900 € * Depuis le 1er mars 2020, certains véhicules sont soumis à nouveau dispositif d’immatriculation pour une meilleure prise en compte des émissions de CO2. Exemple concret Vous achetez un véhicule pour une valeur de 40 000 € TTC, avec un taux d’émission de CO2 de 120g / km, que vous décidez d’amortir sur 4 ans. Le calcul de la dotation aux amortissements sera chaque année de 40 000 € / 4 = 10 000 €. Cependant, la déduction de l’amortissement étant plafonnée fiscalement à 18 300 euros, la société ne pourra déduire chaque année qu’un montant maximal de 18 300 / 4 = 4 575 €. Vous devrez donc réintégrer à votre résultat fiscal une partie de la dotation en l’occurrence 5 425 € ce qui engendra, en cas de résultat fiscal positif, une charge d’impôt de 1 519 € supplémentaire en prenant comme base un taux d’IS à 28 %. Cas n°2 Location d’un véhicule de fonction et déductibilité des loyers Si vous optez pour la LDD location longue durée, les loyers de location sont des charges qui viennent diminuer votre bénéfice imposable. Mais attention, là aussi il y a une limite pour les véhicules de tourisme pas pour les utilitaires ! Référez-vous au barème des amortissements présenté précédemment c’est exactement le même système pour les véhicules en LDD. Les loyers annuels pourront être déduits de votre résultat fiscal dans une certaine limite, qui dépend du taux d’émission de CO2 du véhicule. Impôts et taxes sur les véhicules de fonction Comme nous venons de le voir, l’achat ou la location d’un véhicule de fonction n’est pas une dépense ordinaire, puisqu’elle peut en partie être réintégrée à votre résultat fiscal et donc, vous amener à payer de l’impôt supplémentaire. Mais ce n’est pas tout la fiscalité sur les véhicules de fonction n’est pas spécialement avantageuse pour les entreprises, en particulier lorsqu’il s’agit de véhicules de tourisme et non d’utilitaires. Récupération de la TVA sur les véhicules de fonction Que vous optiez pour l’achat ou la location, la TVA n’est pas récupérable ni sur le coût des véhicules de tourisme, ni sur les frais afférents entretien, réparations…. En revanche, la TVA est récupérable dans le cas des véhicules utilitaires. TVS Taxe sur les véhicules de société Cette taxe est à payer annuellement pour chaque véhicule possédé ou loué pendant plus d’1 mois par l’entreprise. Cette taxe dépend Des émissions de CO2 ou de la puissance fiscale des véhiculesDe la date de mise en circulation du véhicule et du carburant utilisé Pour plus d’information, référez-vous au site du Service Public. Dans certains cas, les entreprises peuvent être exonérées de la TVS Entreprises individuelles ;Véhicules utilitaires ;Entreprises ayant une activité de vente ou de location de véhicule, de transport de passagers taxi ou VTC, d’enseignement de la conduite. Malus automobile le barème 2021 Cette taxe est à payer lors de l’immatriculation de certains véhicules particulièrement polluants. Pour un véhicule neuf, la taxe, dite malus, est calculée selon les émissions de CO2 ou la puissance fiscale du véhicule, selon que le véhicule a fait l’objet d’une réception communautaire ou pas. Pour un véhicule d’occasion, la taxe dépend de la puissance fiscale du véhicule. De plus, les véhicules les plus polluants sont soumis à une taxe annuelle. Cette taxe est due uniquement pour les véhicules de tourisme. Pour plus d’infos sur le barème du malus automobile en 2021, rendez-vous sur le site du Service Public. Autres dépenses La possession ou la location d’un parc de véhicules de fonction entraîne un certain nombre de coûts supplémentaires Coût du carburant pour les déplacements professionnels de vos salariés ;Entretien des véhicules et réparations ;Assurance. Dans le cas des véhicules de tourisme, seules les dépenses de carburant sont éligibles à la récupération de la TVA dans la limite de 80% de ces dépenses. Cotisations sociales Un véhicule de fonction est un avantage en nature qui est intégré à la rémunération des salariés ou du dirigeant. De ce fait, l’entreprise doit s’acquitter des cotisations salariales et patronales sur cet élément du salaire. Mais comment valoriser cet avantage en nature ? On fait le tour au chapitre suivant. Véhicule de fonction et avantage en nature frais réels ou forfaitaires ? Si vous accordez un véhicule de fonction à un salarié, il l’utilisera pour ses déplacements professionnels, mais également pour ses déplacements personnels. Cela le dispense de l’achat d’un véhicule. C’est donc un élément constitutif de sa rémunération Soumis aux cotisations salariales et patronales,Soumis à l’impôt sur le revenu pour le salarié. Ne pas déclarer ou mal évaluer cet avantage en nature vous exposerait à de lourdes sanctions en cas de contrôle des URSSAF. Mais encore faut-il pouvoir estimer le montant de cet avantage en nature ! Pour cela, vous avez le choix entre deux méthodes les frais réels ou forfaitaires. Avantage en nature la méthode des frais réels Déterminer le coût global annuel du véhicule Dans le cas où vous optez pour la méthode des frais réels, vous devrez d’abord calculer le coût global annuel du véhicule. Pour évaluer ce coût, on va additionner Le coût de l’amortissement annuel du véhicule ou le loyer annuel dans le cas d’une location. Attention le calcul n’est pas le même que pour le calcul de l’amortissement fiscal. Pour un véhicule de moins de 5 ans, l’amortissement annuel du véhicule, toutes taxes comprises, sera égal à 20% du coût d’achat TTC du véhicule. Lorsque le véhicule a plus de 5 ans, l’amortissement à retenir est de 10 % et non pas de 20 %.Les frais d’entretien lavage, pneumatiques, changement de piècesLe coût de l’assurance qui dépend de la catégorie de véhicule et de ses chevaux fiscaux entrée de gamme, milieu de gamme, haut de gamme. L’ensemble de ces dépenses déterminera le coût global annuel du véhicule de fonction. Calculer l’avantage en nature en frais réels Pour calculer la valeur réelle de l’avantage en nature, on applique l’équation suivante Coût global annuel du véhicule x kilométrage parcouru par le salarié à titre privé / kilométrage total parcouru cette année + le cas échéant, les frais de carburant utilisé pour l’usage privé et payés par l’employeur. Exemple concret Vous achetez un véhicule neuf pour un montant de 25 000 € TTC, que votre salarié utilise à des fins professionnelles et personnelles. Les frais d’entretien s’élèvent à 1000 € par an et l’assurance à 1200 € par an. Le salarié parcourt 50 000 km par an, dont 5000 à titre privé. L’employeur ne paye pas le carburant. ⇒ Le montant de l’avantage en nature selon le principe des frais réels s’élève à 25 000*0,2 + 1000 + 1200 x 5000 / 50 000 = 720 € Avantage en nature et frais réels avantages et inconvénients AvantagesInconvénients✅ Méthode la plus économique si le salarié ne roule pas beaucoup à titre privé avec le véhicule de fonction❗️ Vous devez conserver l’ensemble des justificatifs tickets de carburant, factures d’entretien…✅. Le montant est au plus près de la réalité puisqu’il dépend des dépenses engagées et des kilomètres parcourus❗️ Nécessite beaucoup d’organisaton pour calculer et conserver le kilométrage parcouru à titre personnel et professionnel. Avantage en nature la méthode des frais forfaitaires Cette méthode permet d’estimer un montant forfaitaire qui représente les dépenses réalisées par l’entreprise et donc, l’avantage en nature concédé au salarié. Le tableau ci-dessous récapitule les différentes manières de calculer ce forfait, en fonction de plusieurs critères achat ou location, âge du véhicule, et qui paye le carburant. Véhicule acheté il y a moins de 5 ansVéhicule acheté il y a plus de 5 ansVéhicule en locationL’entreprise ne paye pas le carburant9 % du coût d’achat TTC du véhicule6 % du coût d’achat TTC du véhicule30 % du coût global annuel location, assurance, entretienL’entreprise paye le carburant9 % du coût d’achat TTC du véhicule + frais réels de carburantOU sur option 12 % du coût d’achat TTC du véhicule6 % du coût d’achat TTC du véhicule + frais réels de carburantOU sur option 9 % du coût d’achat TTC du véhicule30 % du coût global annuel + frais réels de carburantOU sur option 40 % du coût global annuel location, assurance, entretien, carburant Exemple Vous achetez un véhicule neuf pour un montant de 25 000 € TTC, que votre salarié utilise à des fins professionnelles et personnelles. Ce dernier paie lui-même le carburant. => Le montant de l’avantage en nature selon le forfait annuel sera égal à 25 000 x 9% = 2250 €. Comme on le voit, cette méthode est beaucoup moins avantageuse que les frais réels si le salarié roule beaucoup à titre professionnel, et peu à titre personnel. Avantage en nature et frais forfaitaires avantages et inconvénients AvantagesInconvénients✅ Méthode la plus simple à mettre en place❗️ Ne dépend pas des kilomètres parcourus✅. Evite les risques d’un redressement social❗️ Méthode beaucoup moins avantageuse que les frais réels si le salarié roule beaucoup à titre professionnel et peu à titre personnel✅. Ne nécessite pas de conserver les justificatifs, ni de calculer le kilométrage Frais réels ou forfaitaires comment choisir ? Maintenant que vous avez bien compris la différence entre ces deux méthodes de calcul de l’avantage en nature, vous vous posez sans doute encore la question qu’est-ce qui est le plus intéressant pour mon entreprise et mes salariés ? En effet, le choix entre frais réels et frais forfaitaires est un réel choix économique pour l’entreprise qu’il ne faut pas sous-estimer. Ce choix va dépendre de plusieurs caractéristiques Du nombre de kilomètres réalisés chaque annéeDe la proportion de kilomètres professionnels / personnels réalisés D’une manière générale – Si l’usager conduit peu mieux vaut opter pour les frais réels – Si l’usager conduit beaucoup km pro et perso mieux vaut opter pour les frais forfaitaires. Simulations comparaison frais réels / frais forfaitaires avec 3 hypothèses Nous avons réalisé des simulations détaillées, afin de comprendre dans quel cas il vaut mieux choisir les frais réels ou les frais forfaitaires, en fonction de plusieurs critères Type de véhicule entrée de gamme, milieu de gamme, haut de gammeNombre de kilomètres parcourus par an à titre professionnel et personnelPrise en charge du carburant par le salarié ou le collaborateur Pour découvrir le détail des simulations et savoir dans quelle situation se trouve votre entreprise, téléchargez le guide complet au format PDF ! Les simulations que nous avons faites permettent de tirer quelques conclusions utiles Si le salarié réalise peu de kilomètres personnels avec son véhicule, alors l’entreprise a intérêt à se tourner vers les frais réels. Si le salarié réalise beaucoup de kilomètres personnels avec son véhicule, l’entreprise a plus intérêt à se tourner vers les frais forfaitaires. Par exemple pour 20 000 km parcourus, si le salarié Ne réalise que 5 000 km à titre privé, l’entreprise a intérêt de se positionner sur les frais réelsRéalise 15 000 km à titre privé, l’entreprise a intérêt de choisir les frais forfaitaires. Par ailleurs, pour un même kilométrage professionnel / personnel, on constate que plus on a un véhicule haut de gamme et plus il est rapidement intéressant de se tourner vers les frais forfaitaires. Notons que les intérêts de l’entreprise et du salarié vont dans le même sens, puisque celui-ci à intérêt à ce que le montant de l’avantage en nature ne soit pas trop élevé en effet, il paye de l’impôt sur cette somme. Comment GeoWallet peut vous aider ? GeoWallet, application de suivi des trajets professionnels, peut vous aider à faire les bons choix et à justifier les déplacements de vos salariés. GeoWallet capte automatiquement les trajets effectués dans chaque véhicule, et les ventile de façon automatisée sur la bonne catégorie trajet professionnel / trajet personnel. Avec GeoWallet Les usagers des véhicules n’ont pas besoin de noter manuellement chaque trajet dans un cahier, un tableau ou une application ;Les calculs sont automatiques et vous connaissez à n’importe quel moment le total des kilomètres parcourus à titre professionnel et personnel ;Ainsi, vous pouvez facilement choisir l’option la plus favorable entre les frais réels ou les frais forfaitaires pour calculer l’avantage en nature, en vous basant sur des informations précises ;Si vous optez pour les frais réels, vous disposez de justificatifs fiables en générés automatiquement en cas de contrôle ; Vous maîtrisez les coûts de carburant en vous assurant de ne pas financer sans contrepartie le carburant utilisé par vos salariés pour leurs déplacements personnels ;Dans tous les cas, vous pouvez facilement justifier la pertinence de ma mise à disposition d’un véhicule de fonction, puisque vous conservez une trace de tous les déplacements effectués par vos salariés à titre professionnels.
programmemalraux 2021 Avignon; Malraux Investissement. programme malraux 2021 Avignon . Posted on 01/01/1970. Malraux défiscalisation. Nous retrouvons notamment : les travaux réalisés directement en 1734 pour loi immobiliere être situé dans le faire ? Est possible, pouvait choisir ensuite élargi de traitement des stades de 500. Ou 18 mois en loi duflot, son mode de vie
La déduction de l’amortissement des véhicules de tourismes fait l’objet d’une limitation. Des exceptions existent néanmoins. Pour ne pas à avoir à réintégrer la part supérieure au plafond sur vos véhicules de tourisme, louez-les pour une courte période moins de 3 mois. A noter, depuis 2020, la loi de finances a relevé les seuils de déduction pour inciter les entreprises à acquérir ou louer des véhicules moins polluants. Une déduction de l’amortissement des véhicules de tourisme limitée… Rappel la déduction de l’amortissement d’un véhicule de tourisme est limitée en fonction des émissions de Co2 du véhicule et depuis la loi de finances de 2020, en fonction du dispositif d’immatriculation. Taux d’émission de CO² en g/kmAncien dispositif d’immatriculationNouveau dispositif d’immatriculation norme WLTPT 1659 900 €9 900 € Ce dispositif de limitation s’applique également dans l’hypothèse où l’entreprise loue le véhicule. C’est à dire aux loyers des voitures de tourisme pour la partie du loyer correspondant à l’amortissement pratiqué par le loueur pour la fraction du prix de revient du véhicule qui excède le plafond de déductibilité. … sauf pour certaines activités Concernant les voitures achetées. La limite n’est pas applicable lorsque l’acquisition d’une voiture est nécessaire à l’exercice de l’activité de l’entreprise, en raison même de son objet. Par exemple les taxis ou les ambulanciers, les auto-écoles, les entreprises de location de véhicules, etc. Concernant les voitures louées. Les véhicules pris en location sur une courte durée n’excédant pas trois mois non renouvelables ne sont pas soumis à la limitation les loyers sont donc, dans cette hypothèse, totalement déductibles des résultats imposables. … et sauf pour certains équipements L’administration fiscale admet que, les véhicules électriques et les voitures fonctionnant au GPL ou au GNV bénéficient d’une tolérance administrative permettant de traiter différemment les équipements qui leurs sont spécifiques. Ainsi, lorsque les accumulateurs nécessaires au fonctionnement des véhicules électriques ou les équipements spécifiques permettant l’utilisation du GPL ou du GNV ont fait l’objet d’une facturation séparée ou d’une facturation permettant de les identifier lors de l’acquisition des véhicules, ils ne sont pas pris en compte pour apprécier la limitation de la déductibilité de l’amortissement. Seul l’amortissement concernant le coût du véhicule lui-même est susceptible d’être limité art. 39-4 du CGI. Cette tolérance peut également s’appliquer en cas de location y compris la location longue durée. A noter, l’achat d’un véhicule de tourisme par la société a d’autres incidences, notamment fiscale. Avec un véhicule de société vous êtes redevable de la Taxe sur les Véhicules de Société TVS. Autre point, la TVA n’est en principe pas récupérable sur l’achat d’un véhicule de tourisme, ni les frais d’entretien des véhicules, mais comme toujours, il y a des exceptions… voir la récupération de la TVA sur les véhicules de tourisme.
Laloi de finances pour l’année 2021 prévoit un budget d’un montant de 52,6 milliards de dinars pour l’exercice 2021 contre 47 milliards de dinars en 2020, soit un taux de croissance de 4% et un déficit budgétaire prévu de 8 milliards de dinars. Le budget 2021 sera financé par des ressources de l’ordre de 33,009 milliards de
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